Quatrième de couverture :
Affaibli par le poids des années, FitzChevalerie cherche un moyen de secourir la dernière personne qui semble avoir encore besoin de lui en ce monde. Malgré l’envie du Fou d’aider son vieil ami à poursuivre les ravisseurs d’Abeille, son état de santé lui interdit tout nouveau danger. Et aujourd’hui connu de tous à la cour, le noble lignage de Fitz ne lui permet plus la liberté dont il jouissait autrefois.
En dépit de ces difficultés, il lui faudra se conformer aux ordres du roi ou subir les conséquences de ses actes pour mener à bien sa mission, qui sera peut-être la dernière? Partagé entre tristesse, haine et faiblesse, Fitz doit à nouveau emprunter les piliers d’Art et rattraper coûte que coûte Dwalia et ses sbires. Aura-t-il la force de recouvrer ses anciens talents d’assassin, d’accomplir sa quête, pour son vieil ami et sa fille ?
Est-ce nécessaire de commenter ceci ? Et oui, revoilà notre assassin royal et le Fou… Et ce tome là est de la même veine que les tomes de la série originale. Autant où j’ai parfois eu du mal avec les tomes précédents, autant où celui-là m’a reconquise. C’est vif, c’est haletant et je n’attend qu’une chose : la suite !