Départ à pied à Beaubourg qui n'ouvre qu'à 11 heures. Du coup crochet par le Celio des Halles.
Expo Magritte. Un grand nombre de toiles. On ne présente pas...
Expo Brassaï graffitis. L'art de la rue. « Ces signes succincts ne sont rien moins que l’origine de l’écriture, ces animaux, ces monstres, ces démons, ces héros, ces dieux phalliques, rien moins que les éléments de la mythologie. » C’est avec ces mots que Brassaï, photographe français d’origine hongroise, commentait, en 1933, la première publication de quelques-unes de ses photographies des fragments des murs parisiens parues dans la revue Minotaure. La série des « Graffiti », à laquelle le photographe travaillera pendant plus de vingt-cinq ans est riche de plusieurs centaines d’images, dont une partie reste méconnue. L’exposition que présente le Centre Pompidou dans la Galerie de photographies, en dévoilant des inédits, propose un regard approfondi sur ce célèbre ensemble et sa fortune auprès d’artistes et d’écrivains proches de Brassaï : Pablo Picasso, Jacques Prévert, Jean Dubuffet, notamment.
Expo Twombly gribouillis. L'expo qui occupe l'autre aile du 6ième étage après Magritte. Moment cocasse dans la dernière salle vitrée immense où sont exposés des ruclons (en savoyard des cochonneries) ramassées par Twombly et tous peints en blanc à la peinture industrielle. Une vue sur Paris à couper le souffle avec une lumière impossible à peindre. Quasi tous les visiteurs tournant le dos aux ruclons pour admirer la ville et pour la photographier montrant bien l'intérêt pour les oeuvres. Enb voici une :
Je n'ai rien contre la peinture abstraite. J'ai beaucoup aimé Zao Wou Ki à Gianadda.
Puis Hôtel de ville pour une expo Coluche très sympa...
Enfin les grands magasins décorés pour noël et repas à la brasserie gare de Lyon pour une choucroute.