Un article publié le 1er mai. Un autre republié suite à une mauvaise manip. Maigre bilan. De nombreux chantiers se sont ouverts qui requièrent tout ou presque de mon temps et de mon énergie. Mais que Jean-Luc se rassure - lui dont j’ai mis en ligne le dernier commentaire aujourd’hui seulement - je commence à retrouver un peu de souffle et j’essaie d’en mettre de côté pour ces rares moments de prise de distance.
Ces deux derniers mois ont été tellement denses que j’ai capitalisé de la matière pour quelques bonnes dizaines de billets. En vrac : l’affaire des blaireaux, un séjour bulgare, notre premier GG, la préparation d’un congrès au Champagne, 300 litres d’eau de pluie collectés en 5 jours, un oeil sur la Catalogne sa mer bleue et ses tapas.
En ces temps de morositisme aigu et de pluviosité abusive, j’envisage de faire plutôt court et léger. Celles et ceux qui attendent du lourd et du profond devront patienter encore. Les élastiques devront se refermer sur les chemises cartonnées mais elles sont envoutées et tiennent davantage du tonneau des Danaïdes que de la papèterie ordinaire…
De toutes les activités mises entre parenthèses pour cause de boulot, l’écriture de ces petits billets est peut-être celle qui m’a manqué le plus. Reprise en douceur.