Je lui dirais les maux bleus

Publié le 09 décembre 2016 par Le Journal De Personne
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Le mal est dit par le Général :

"Impossible d'imaginer une pareille bassesse - et en même temps une pareille inconscience de la bassesse".

C'est pire que l'enfer, la descente, suite à quelque maladresse, on enfante un monstre... qui rend la pente de plus en plus glissante vers des flammes en liesse.

Et la France ne sait plus sur quel pied danser...

Elle s'enfonce lentement mais surement... vers sa propre déchéance. Elle a mis bas un monstre à trois têtes : liberté, égalité, fraternité ou plus précisément : Licence, équivalence et fausse semblance.

Conséquence : on interrompt la séquence en redonnant aux maux bleus un sens : la pilule, la contraception, le divorce, l'avortement, le mariage homosexuel, la procréation médicalement assistée, la gestation pour autrui

Le séquençage du génome humain pour mettre un terme à cette dégénérescence programmée.

La bassesse quand on ne croit plus à ce qui est EN SOI, et qu'on s'en prend à d'autres que soi.

On chasse Dieu, on vide les lieux puis on se demande pourquoi les Français ne se sentent plus chez eux.

Nous sommes envahis... sauve qui peut !

La France s'est déchristianisée à outrance et son désert mental s'est repeuplé avec d'autres idéals... parce que la culture aussi, a horreur du vide...

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