Aucune hiérarchie ne se dégage entre le récit et les interrogations qui le traversent. Impossible d’affirmer que le premier est articulé sur les secondes, ou le contraire. C’est à la fois la force et la faiblesse de Check-point. Sa force, parce que rien ne fait écran, pour le lecteur, au voyage qu’il accomplit avec les personnages. Sa faiblesse, parce qu’on aurait peut-être aimé obtenir des réponses plus claires aux questions posées. Mais, après tout, ce n’est probablement pas la fonction d’un roman.
Aucune hiérarchie ne se dégage entre le récit et les interrogations qui le traversent. Impossible d’affirmer que le premier est articulé sur les secondes, ou le contraire. C’est à la fois la force et la faiblesse de Check-point. Sa force, parce que rien ne fait écran, pour le lecteur, au voyage qu’il accomplit avec les personnages. Sa faiblesse, parce qu’on aurait peut-être aimé obtenir des réponses plus claires aux questions posées. Mais, après tout, ce n’est probablement pas la fonction d’un roman.