les
bouquins
dont on
a parlé
tous ensemble.
Et évidemment François Busnel! Car j'ai eu l'honneur, le privilège, et surtout l'extrême trouille d'être invitée à participer à la Grande Librairie spéciale jeunesse de l'année pour Songe à la douceur. Je précise d'emblée pour ceux qui ne m'auraient pas rencontrée en vrai que je ne suis pas d'habitude figée comme un Playmobil de cette manière fort peu naturelle. Mais j'aimerais bien vous y voir, car il y avait tellement de caméras que même ma Grande-Bretagne adoptive aux deux cent milliards de caméras de surveillance ne peut pas rivaliser avec une telle énergie panoptique.
là on n'était plus en plateau! Claude Ponti, Susie Morgenstern et moi dans le public.
Merci Gabriel et Philippe pour la photo
si tu te souviens du Captain J, tope là
Et encore, c'était 'dans les conditions du direct' mais en différé quand même. Je me demande depuis une semaine comment font les gens qui vont en direct à la télé très souvent, et surtout ceux qui y vont pour parler de sujets controversés et non pas pour se faire interviewer sur leurs romans pour ados. Comment ne sont-ils pas constamment en état de choc? Mystère.Bon, OK, mais comment c'était? Eh bien, vous verrez bien (et pas moi, car ça fait déjà deux semaines qu'on a prévu une soirée entre collègues pour aller faire du patin à glace jeudi; je ne peux pas les lâcher, ce serait unbritish, donc tandis que vous regarderez l'émission je serai en train de m'étaler sur la glace comme un pingouin). De toute façon, comme pour un entretien d'embauche ou autre situation hyperstressante, je n'ai pas un souvenir très distinct de ce dont on a parlé, donc impossible de vous spoiler le truc, sauf sous hypnose peut-être.
une autre photo! je sais pas où était passé Arnaud.
Tout ce que je peux vous dire, c'est que ce n'était pas qu'un tout petit peu émouvant de me retrouver (littéralement) face à Claude Ponti et Susie Morgenstern, que je n'avais jamais rencontrés, et qui ont très largement contribué à me former en tant que personne à travers mon enfance et dans mon adolescence. Et un plaisir de revoir Arnaud Cathrine avec qui j'avais déjà partagé une scène à Manosque. Il est sympa, Arnaud, mais il met plein de gros mots dans ses textes. Faudrait qu'il fasse gaffe quand même'Vous ne continuez pas, Monsieur?'
Après cela j'ai filé à Montreuil où j'ai passé un weekend comme toujours à deux mille à l'heure, plein de sourires, d'embrassades, de cafés dans de toutes petites tasses en plastique, et d'encre sur les doigts. Merci sept millions de fois au moins à ceux et celles qui sont (re)venu/es nous voir sur le stand Sarbacane cette année.auteure heureuse/ fatiguée
(je suis sûre que Claude Ponti trouverait un nouveau mot pour cet état d'esprit)
En attendant, rendez-vous donc jeudi avec des pop corns. Pensez à moi, Surya Bonaly yorkaise, qui me retiendrai d'effectuer d'impressionnants salto arrière pour ne pas trop impressionner mes collègues (faut rester cool dans la vie; je ferai semblant d'être très mauvaise, mais chut, vous, vous savez la vérité).
Grands mercis aussi à: Inès, Dorothée, Florence, Tibo et Anaïs.