En 2006, une belle aventure initiée par Fabien Raimbault commence et elle va fédérer une bonne partie de la communauté des bidouilleurs et amateurs de robotique en France. Tout commence avec le robot Caliban qui tire son nom du roman de science-fiction: Isaac Asimov’s Caliban écrit par Roger MacBride Allen et publié en 1993. A l’époque Fabien, désire offrir un corps (ou du moins une tête à ce moment là) à l’IA qu’il a programmé de manière à ce qu’elle puisse s’exprimer de manière physique. C’est via son site Cubernetes.com qu’il commence à parler de sa vision de la robotique et de son travail avec une approche heuristique de
Suite au succès qu’à rencontré l’asso, les fondateurs de CALIBAN ont pu aller à la rencontre d’entreprises et de laboratoires, acquérir de l’expérience ce qui leur à permit de concevoir Cybrina en 2009 mais surtout de créer en 2012, la société Cybedroïd qui a débuté avec un premier robot « Cobaye »: Ariell que je vous présentait ici. En à peine 4 ans d’existence, le petite entreprise à créé pas moins de 3 robots: Aria, Leena, Leenby avec à la clé de beaux succès.
CALIBAN 2.0 : du renouveau pour l’association qui se tourne vers la promotion et la démocratisation de la robotique auprès du grand publique.
Depuis mai 2016, l’association fait peau neuve avec à sa tête Thierry BIAUJOUT, Chef de Projet chez Schneider Electric et son énergique vice présidente Margot FILLETON, étudiante à l’IMERIR. En Juin 2016, une actualisation des statuts de l’association CALIBAN est acté avec notamment un nouvel objectif :
« promouvoir, démocratiser, aider, conseiller, enseigner et mettre en relation les personnes autour de la robotique grand public. »
Si vous voulez faire partir de cette aventure, lisez le communiqué ci-dessous, on attend vos retours
CALIBAN, ASSOCIATION DE ROBOTIQUE, ELARGIT SON BUREAU
SI VOUS RECHERCHEZ A VOUS INVESTIR DANS UNE ASSOCIATION DANS UNE AMBIANCE GEEK, C’EST LE MOMENT !
Vous connaissez sans doute les Apérobots, organisés par CALIBAN, tous les 2e mercredis du mois à Paris, mais connaissez-vous l’envers du décor? CALIBAN, c’est aussi une présence sur 8 salons en 2016, une nouvelle équipe, de nouveaux statuts, un nouveau logo et la création du 1er Trophée Apérobots… Le nouveau bureau n’a pas chômé en 2016.
« Pour réaliser les nouveaux projets 2017, l’association recherche des bras, alors si vous en avez de trop… contactez nous ! » annonce Thierry Biaujout, président de l’association.
En 2017, trois nouveaux projets verront le jour :
– la refonte du site WEB et de son fameux forum Performance robot
– la création de worshops
– le développement d’interventions dans les écoles.
Thierry Biaujout, Président de CALIBAN, répond à vos questions:
Que devront apporter le nouveau site WEB et le nouveau forum ?
Plus complet et interactif, le nouveau site WEB devra permettre de s’informer en temps réel sur les activités CALIBAN et d’entrer très facilement en contact avec le bureau. Le forum aujourd’hui contient un historique précieux d’informations qu’il nous faut conserver, tout en rendant le forum plus ergonomique.
En quoi consisteront les worshops ?
« Les workshops prendront la forme de journées ou de demi-journées pendant lesquelles les membres pourront concrètement travailler sur leurs projets individuels avec l’aide des autres membres présents. Nous espérons pouvoir embarquer un fablab ou un hakerspace dans l’aventure. »
Quel est l’intérêt pour CALIBAN d’intervenir dans les écoles ?
« L’association a pour objet de promouvoir et de démocratiser la robotique auprès du grand public, les interventions auprès du jeune public nous semblent primordiales. Dans un premier temps, nous envisageons d’intervenir dans les principales écoles d’informatique et de robotique parisiennes. »
Pour dialoguer en direct avec le bureau de l’association : contact @ CALIBAN-web.com
ou directement via la page Facebook Asso CALIBAN (via MP)
Flashback Caliban: début de la prise de contrôle d’un corps robotique par l’heuristique CBN-001. Ici le robot, n’effectue pas un simple suivi de visage ou de mouvements programmés pour l’animer mais bien de mouvements qui résultent de ses propres choix de s’intéresser à quelque chose d’inattendu