Il y a un peu plus d'une semaine, Michel Ancel était invité à l'IndieCade Europe pour y donner une conférence - résumée par nos confrères de Pixels - sur sa carrière et sa philosophie du jeu vidéo. Un média auquel il a dédié sa vie professionnelle depuis la fin des années 1980, puisque le concepteur renommé de Rayman, Beyond Good & Evil, Les Lapins Crétins ou Tonic Trouble a également imaginé d'autres titres bien plus confidentiels (The Intruder, Pick'n Pile, Mechanic Warriors, Brain Blaster) avant d'entrer chez Ubisoft. Monégasque de naissance et Montpelliérain d'adoption, l'homme partage aujourd'hui son temps entre un WiLD conçu en petit comité avec le soutien de Sony et un Beyond Good & Evil 2 en gestation compliquée depuis bientôt dix ans chez Ubi.
Accompagné par Fabien Delpiano, co-organisateur de l'IndieCade Europe et patron de Pastagames qui épaule techniquement Wild Sheep Studio, Michel Ancel nous a laissé une quarantaine de minutes pour l'interroger sur la scène indépendante et l'industrie du triple A, la gestion de deux gros projets en parallèle, l'intérêt de la PS4 Pro et de la Switch ou encore l'équilibre entre cohérence et densité de contenu dans les jeux.
Voir l'article : Michel Ancel : "Le Graal de l'indé, c'est de rester petit"