Mon beau pays,
Sauras-tu enfin le partage,
Cesseras-tu tes conflits d’un autre âge,
Zola est mort mais son âme pleure encore,
Du paradis où se repose son être parvenu voit-il tes inégalités perdurer,
Ses dirigeants,tels ceux de son temps,toujours se déchirer comme des enfants,
La richesse s’accentuer et la pauvreté toute juste mieux habillée,
Mon beau pays,
De cette Eglise qui se réclame du Témoin divin,es-tu toujours sa fille aînée,
Cette nation avide de liberté,
Inspiratrice pour ce monde des élémentaires égalités,
L’interprète de l’air fraternel,
De toutes les autres es-tu toujours la plus belle,
Mon beau pays,
Retrouve les mots de l’amour,
Ne t’oublie plus en ce royaume des jours,
Retrouve la noblesse de ton influence pour nombre de consciences,
Mon beau pays,
Sois de nouveau le guide de sagesse vers le choix ultime de l’espérance.