Le romancier s’en donne à cœur joie, fournit à ses personnages des existences individuelles assez complexes pour donner l’impression que nous les connaissons bien. Et que nous méritons de rire en leur (bonne) compagnie.
Le romancier s’en donne à cœur joie, fournit à ses personnages des existences individuelles assez complexes pour donner l’impression que nous les connaissons bien. Et que nous méritons de rire en leur (bonne) compagnie.