comme mon ultime refuge.
Ma béquille est l’orage, je ne peux pas supporter,
ma jeunesse craquant des flûtes à bec.
La distance fait un clin d’oeil en un éclair
et me jette à bas comme un bon sac de pommes de terre.
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Károly Fellinger (né en 1963) – Bétonnière ivre – Éditions du Cygne, Poésie du monde / Hongrie, 2015 – Traduit du hongrois par Károlyi Sandor Pallai