Profession du père n’est pas un roman de tout repos. On crie, on frappe, on complote. Et le complot, s’il est la dérive la moins grave parmi les autres, est aussi celle qui les justifie. L’implacable logique de la folie est à l’œuvre, elle exerce son pouvoir sur un être qui n’a pas les moyens d’y résister, sinon en se coulant dans cette logique, en acceptant comme une évidence l’idée qu’elle est la seule possible. Puisque de toute manière on ne lui en pas proposé d’autre.
Profession du père n’est pas un roman de tout repos. On crie, on frappe, on complote. Et le complot, s’il est la dérive la moins grave parmi les autres, est aussi celle qui les justifie. L’implacable logique de la folie est à l’œuvre, elle exerce son pouvoir sur un être qui n’a pas les moyens d’y résister, sinon en se coulant dans cette logique, en acceptant comme une évidence l’idée qu’elle est la seule possible. Puisque de toute manière on ne lui en pas proposé d’autre.