Deux constatations :
- Il semblerait que j'obéisse à deux mécanismes séparés. Un regardant l'autre. Un peu comme s'il y avait un être "naturel" qui est sans défense face aux événements, sans recul, et qui a énormément de difficultés à changer, et une sorte de boucle de rétroaction qui tente de corriger le tir. Mais qui doit travailler de plus en plus.
- Le monde agit sur le premier mécanisme par "l'emprise", comme si la règle du jeu était de trouver mes failles. Cela ressemble, sur un plan plus vaste, à ce que l'on dit de l'industrie alimentaire : elle ajoute du sucre et de la graisse aux aliments, parce que l'évolution nous y a rendu sensibles. La société contemporaine tendrait-elle à faire de nous des accro ?