HARKIS:Faut-il enterrer le passé douleureux ?

Publié le 16 novembre 2016 par Amroune Layachi

En tant que citoyenne algerienne et femme, je retiens ces mots " passé douloureux" pour livrer mon sentiment et souligner que la douleur était des deux cotés...


ces personnes dite harkis ne sont pas moin algeriens que vous et moi..nous qui évoquons la question sans en étre les temoins direct, nous contraint de tenter à reconstituer le contexte historique qui a contribué à faire basculer des enfants du peuple de l'autre coté.


et leur histoire n'est que l'histoire de drames personnels , car eux même pris au piège dans une période trouble (fitna) ou ils n'ont pas su prendre la mesure de la porté de leur choix , quand il l'ont eu ( je pense aux femmes qui devaient suivre le père de leurs enfants, ou de jeunes hommes tout juste sortis de l'adolescence et distingant à peine le le licite de l'illicite...)


aujourd'hui que reste t'il de ce passé?


des plaies encore ouverte...des nons dis, des massacres dont ils ont été la cible par milliers passé sous silence..


mais surtout des viellards rongés par le regret et affaiblis...qu'ils est grand temps de réhabiliter , s'ils en expriment le desir..


et de grâce laissons notre jugement partial et notre nationalisme éxacerbé qui n'ont depuis 50 ans rien apportés à l'algerie.


Allah yerham echouhadda...
we salam

fullana