Vehlmann/Kerascoet
Métamorphose/Soleil
Oct 2016
©Vehlmann/Kerascoet/Soleil
©Vehlmann/Kerascoet/Soleil
Kerascoét s’éclate alors à 100%, et la retenue concernant le graphisme, dont on avait pu faire preuve sur le premier épisode, s’efface totalement. Le scénario est époustouflant, les pages bien mieux remplies, et les personnages (dont Charlotte, qui devient femme en quelques pages, mais chut, pas de spolier), entrainent le lecteur dans un maelström, néanmoins maîtrisé. Jusqu’au bout, on se demande en effet comment l’auteur va pouvoir gérer son final, tant l’histoire est ahurissante et pleine de rebondissements… mais une dernière pirouette permet de conclure en beauté… un récit qui pourrait éventuellement voir une suite.