Magazine
Thème du prochain club des théières : figures géométriques.
Entre celles qui trouveront un titre du même style que mon Vargas, celles qui liront du Le Carré et celles qui décréteront que tout livre peut faire l'affaire, joli parallélépipède, j'imagine déjà un joli débat. Mais je n'y serai pas... Voilà donc, un peu avant le jour J, ce que j'ai à raconter sur ce livre.
Le commissaire Adamsberg vient d'arriver à Paris, son équipe tente de s'habituer à cet homme au visage si particulier, qui griffonne tout le temps, semble rêver en permanence et est précédé par une réputation plus qu'enviable. Et puis il y a Mathilde, une femme étrange, qui suit les gens (et les accueille volontiers chez elle), prend des notes en permanence, Charles, l'aveugle qui aide les gens à traverser, Clémence, qui dépouille les petites annonces à la recherche d'un homme sérieux. Dans le journal, le commissaire découpe des articles sur un drôle d'artiste : Adamsberg attire l'attention de Danglard, un de ses coéquipiers, sur un individu qui trace d'étranges cercles bleus autour d'objets quotidiens, anodins. Adamsberg présume (à raison) qu'un jour ils y trouveront un corps...
Un policier que j'ai beaucoup aimé, que je n'ai pas trouvé très policier finalement mais dont l'ambiance cotonneuse m'a beaucoup plu. Je crois que je m'aventurerai plus en avant dans les enquêtes d'Adamsberg car ce policier est tout à fait fascinant !