Ce rendez-vous traditionnel du 11
novembre n’était pas prévu pour moi cette année, principalement en raison de ma
blessure persistante, mais le désistement de dernière minute d’un relayeur du
club -Courir à Peillon présentait cinq trios- m’a fait prendre le départ dans
le cadre magnifique du parc Estienne D’Orves culminant Nice de son oliveraie en
offrant une vue imprenable sur la ville.
Sans entraînement digne de ce
nom, je n’ai guère eu l’occasion ni la prétention de faire une performance
mirifique, mais le plaisir de courir avec un dossard était bien là avec le
mordant et la motivation pour aller rejoindre le concurrent précédent de
quelques mètres, avec l’énergie de forcer l’allure dans les montées avant d’attendre
mes équipiers au sommet.
Outre mes acolytes peillonnais, c’est
toujours avec plaisir que je revois les amis de course à pied dont j’évite de
faire la liste de crainte d’en oublier. C’est aussi une surprise de voir de
nouveaux adeptes, peut-être une révélation dans ce sport pour Delphine mais
rien n’est moins sûr.
Comme le veut l’usage, nous avons
ensuite pique-niqué d’un pan bagnat non sans assister au sempiternel débat des
puristes sur le contenu du sandwich rond et niçois. Mais un verre de rosé plus
tard et l’amitié reprend le dessus.
Préparation des Pan Bagnat
Un trio de bigoudènes niçoises
Une concurrente dans la verdure
image insolite d'un gentleman poursuivi par un footeu
Un trio heureux (Valérie, Loîc, Thomas)
Une trio uni (Votre dévoué, Nathalie, Philippe)
Philippe dominant la ville
Photos de Claude Eyraud
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