Posté par fdesbordes dans : humeurs et deshumeurs existencielles , trackback
Aller de l'avant. Après-midi au soleil. Peser le pour et le contre en regardant les gens s'asperger d'eau. Trouver une parade à la con avec un " laissons le temps au temps " qui ne résout rien mais qui a le mérite de repousser l'échéance. Pourtant, au fond, on sait déjà. On voudrait vivre l'insouciance de tous les instants et pourtant... Une page se tourne définitivement. Plus la force de lutter contre vents et marées, de prouver que l'on peut aimer à s'oublier.
Miroir d'eau, les enfants courent dans les flaques et nous on a presque les larmes aux yeux. Le temps est venu de dire adieu et d'ouvrir une nouvelle porte vers la belle inconnue du soleil levant. Et trouver sa place...