Résister encore et encore et vivre. Vivre à tout prix, like a bird. Tiens, réflexion… Des femmes mystérieuses, visages / sourires / attitudes incroyablement bouleversants pour des milliers de petits mecs comme moi à l’époque qui nous demandions qui étaient ces femmes sur les pochettes de ces 33 tours cultissimes. Ces femmes, retrouvées aujourd’hui, nommées, grâce à la toute-puissance magique d’Internet. Suze, sur la pochette de Freewheelin’ le deuxième album de Dylan, Marianne sur celui de Leonard, Songs from a room. Ces femmes, inspiratrices, initiatrices, pour l’éternité.
Des femmes sont là, dans l’ombre et la lumière, des femmes sont là dans les rues, les places et les maisons et l’homme qui ne sait rien, qui tire sur sa chaîne pour remonter du plus profond de lui-même, vers une lumière espérée, un seau lourd de ténèbres ainsi que l’écrivait René-Guy… l’homme le sait, le pressent, l’attend.