Chaque année, entre Halloween et le début de l’Avent, une étrange communauté de farfelus, un peu barrés se réunit autour d’une idée un peu dingue: écrire 50000 mots en un mois. C’est un peu comme un concours de mangeurs de pizzas, mais les maux d’estomac en moins… Quoique… Le principe est simple (en théorie). Vous êtes passionnés d’écriture, vous avez la plume qui vous démange ? Pourquoi ne pas intégrer une communauté et un challenge international pour donner un coup de fouet à votre projet ?
50000 mots en un mois, c’est une moyenne de 1663 mots par jour. Pas simple, mais faisable. Tous les types d’écrits sont acceptés.
Sur Songe d’une nuit d’été, trois chroniqueuses se sont lancées dans l’aventure. Après une dizaine de jours, un petit bilan s’impose.
- A combien de mots en es-tu ?
Artemissia : Un peu plus de 32 milles pour le moment ^^. Mais, je viens de finir ma fic cadeau et donc, je ne sais pas si j’aurai le temps de faire autre chose pour combler ce qu’il manque. J’avais choisi le Nano justement pour m’encourager à terminer rapidement mon histoire. Après, j’ai bien d’autre fic en attente, donc on verra bien.
Elora : En plein mois de Novembre, je me doutais bien que je prendrais tout de suite du retard. J’en suis précisément à 10077 (le 10/11). Je ne pense pas atteindre les 50000, mais j’avance dans mon récit et c’était le but de l’opération.
Laulitta : Je n’en suis qu’à 5000 mots, donc je suis très loin d’atteindre l’objectif final, je le crains.
- Qu’est-ce tu écris ?
Artemissia : Je ne fais pas dans l’original, il s’agit d’une fanfiction dans l’univers de Harry Potter. Un cadeau pour un échange de Noël.
Elora : C’est un roman fantastique qui se déroule au XIXe et qui s’intitule “Que ceux qui ne peuvent pas mourir lèvent la main”. C’est une enquête menée par un type immortel cynique affublé malgré lui d’une adolescente ingérable. Derrière, il y a des bestioles sorties du folklore, une Confrérie pas marrante, un prêtre pas très catholique et une guérisseuse louche.
L’histoire est postée sur Wattpad.
Laulitta : J’écris un roman de fantasy mêlé à du fantastique. En fait, mon héroïne vit dans le monde que l’on connait. Sauf qu’elle va se réveiller dans l’univers de son roman préféré.
- A quel moment de la journée écris-tu ?
Artemissia : Dès que je peux ! Mais surtout l’après-midi quand mon bébé dort et/ou le soir.
Elora : En semaine, c’est toujours compliqué parce que je suis bien plus efficace le matin. Généralement, je consacre le samedi à l’écriture.
Laulitta : Je dois bien avouer que je n’ai pas fait de l’écriture ma priorité, d’où mon faible score d’ailleurs. Je me retrouve donc à écrire quand j’ai un moment de libre mais c’est parfois compliqué à trouver.
- Où écris-tu ?
Artemissia : A mon bureau. Essentiellement. Je ne tiens pas sur ma tablette.
Elora : Assise sur mon lit, directement sur ordinateur avec un chat comme bouillotte.
Laulitta : J’écris sur mon ordinateur, à mon bureau. J’ai essayé d’écrire dans mon lit mais je m’endors à chaque fois ^^
- Ecoutes-tu de la musique en écrivant ? Si oui, laquelle ?
Artemissia : Ca dépend. Là, j’ai surtout écrit dans le silence, sinon j’aime bien les OST de Armand Amar ou bien encore les musiques du groupe Audio Machine.
Elora : Aucune musique. Je ne peux écrire que dans le silence.
Laulitta : J’ai découvert un site qui propose des musiques d’ambiance. Je m’en inspire pour me mettre dans le bain et l’inspiration vient bien plus facilement.
- Comment procèdes-tu pour construire tes histoires ?
Artemissia: Mon histoire, enfin les tenants et aboutissants, je les réfléchis dans ma tête, après je me fais un plan avec les grandes lignes. Mais, tout se passe dans ma tête, et sous la douche ! Ah ! Ah ! Ah !
Elora: Je ne sais pas faire de plan très précis et encore moins m’y tenir. De façon générale, les personnages me viennent avant l’intrigue. J’aime construire des “caractères”, imaginer leur passé, essayer de rendre leurs réactions les plus vraisemblables possibles compte tenu de ce qu’ils ont vécu… J’aime aussi confronter des opposés et faire en sorte que les personnages ne soient jamais tout blancs ou tout noirs. L’histoire se construit d’elle même après. Je sais où je veux les mener, mais je ne prends jamais de notes.
Laulitta: J’ai une idée générale. Je sais qui sont mes méchants, les caractères de mes personnages principaux et les grandes intrigues de mon histoire. Ensuite, j’avance et à mesure.
- Quand as-tu commencé à écrire et quels sont tes premiers écrits ?
Artemissia: quand j’étais gosse. J’adorais ça. C’était surtout des rédactions qui faisaient facilement 5, 6 pages. Et il y a plus de 12 ans, j’ai commencé à écrire des fanfictions et depuis… je continue à en écrire.
Elora: J’ai commencé à écrire régulièrement, il y a cinq ans seulement. J’ai commencé avec des fanfictions.
Laulitta: J’ai écrit un peu lors du nano de l’année dernière. Je me rends compte cette année qu’il faut vraiment que j’acquiers de la pratique. C’est un exercice que je trouve assez difficile mais vraiment libérateur.
Et vous, participez-vous également au nano cette année ? Dites nous tout en commentaire!
Chaque année, entre Halloween et le début de l’Avent, une étrange communauté de farfelus, un peu barrés se réunit autour d’une idée un peu dingue: écrire 50000 mots en un mois. C’est un peu comme un concours de mangeurs de pizzas, mais les maux d’estomac en moins… Quoique… Le principe est simple (en théorie). Vous êtes passionnés d’écriture, vous avez la plume qui vous démange ? Pourquoi ne pas intégrer une communauté et un challenge international pour donner un coup de fouet à votre projet ?
50000 mots en un mois, c’est une moyenne de 1663 mots par jour. Pas simple, mais faisable. Tous les types d’écrits sont acceptés.
Sur Songe d’une nuit d’été, trois chroniqueuses se sont lancées dans l’aventure. Après une dizaine de jours, un petit bilan s’impose.
- A combien de mots en es-tu ?
Artemissia : Un peu plus de 32 milles pour le moment ^^. Mais, je viens de finir ma fic cadeau et donc, je ne sais pas si j’aurai le temps de faire autre chose pour combler ce qu’il manque. J’avais choisi le Nano justement pour m’encourager à terminer rapidement mon histoire. Après, j’ai bien d’autre fic en attente, donc on verra bien.
Elora : En plein mois de Novembre, je me doutais bien que je prendrais tout de suite du retard. J’en suis précisément à 10077 (le 10/11). Je ne pense pas atteindre les 50000, mais j’avance dans mon récit et c’était le but de l’opération.
Laulitta : Je n’en suis qu’à 5000 mots, donc je suis très loin d’atteindre l’objectif final, je le crains.
- Qu’est-ce tu écris ?
Artemissia : Je ne fais pas dans l’original, il s’agit d’une fanfiction dans l’univers de Harry Potter. Un cadeau pour un échange de Noël.
Elora : C’est un roman fantastique qui se déroule au XIXe et qui s’intitule “Que ceux qui ne peuvent pas mourir lèvent la main”. C’est une enquête menée par un type immortel cynique affublé malgré lui d’une adolescente ingérable. Derrière, il y a des bestioles sorties du folklore, une Confrérie pas marrante, un prêtre pas très catholique et une guérisseuse louche.
L’histoire est postée sur Wattpad.
Laulitta : J’écris un roman de fantasy mêlé à du fantastique. En fait, mon héroïne vit dans le monde que l’on connait. Sauf qu’elle va se réveiller dans l’univers de son roman préféré.
- A quel moment de la journée écris-tu ?
Artemissia : Dès que je peux ! Mais surtout l’après-midi quand mon bébé dort et/ou le soir.
Elora : En semaine, c’est toujours compliqué parce que je suis bien plus efficace le matin. Généralement, je consacre le samedi à l’écriture.
Laulitta : Je dois bien avouer que je n’ai pas fait de l’écriture ma priorité, d’où mon faible score d’ailleurs. Je me retrouve donc à écrire quand j’ai un moment de libre mais c’est parfois compliqué à trouver.
- Où écris-tu ?
Artemissia : A mon bureau. Essentiellement. Je ne tiens pas sur ma tablette.
Elora : Assise sur mon lit, directement sur ordinateur avec un chat comme bouillotte.
Laulitta : J’écris sur mon ordinateur, à mon bureau. J’ai essayé d’écrire dans mon lit mais je m’endors à chaque fois ^^
- Ecoutes-tu de la musique en écrivant ? Si oui, laquelle ?
Artemissia : Ca dépend. Là, j’ai surtout écrit dans le silence, sinon j’aime bien les OST de Armand Amar ou bien encore les musiques du groupe Audio Machine.
Elora : Aucune musique. Je ne peux écrire que dans le silence.
Laulitta : J’ai découvert un site qui propose des musiques d’ambiance. Je m’en inspire pour me mettre dans le bain et l’inspiration vient bien plus facilement.
- Comment procèdes-tu pour construire tes histoires ?
Artemissia: Mon histoire, enfin les tenants et aboutissants, je les réfléchis dans ma tête, après je me fais un plan avec les grandes lignes. Mais, tout se passe dans ma tête, et sous la douche ! Ah ! Ah ! Ah !
Elora: Je ne sais pas faire de plan très précis et encore moins m’y tenir. De façon générale, les personnages me viennent avant l’intrigue. J’aime construire des “caractères”, imaginer leur passé, essayer de rendre leurs réactions les plus vraisemblables possibles compte tenu de ce qu’ils ont vécu… J’aime aussi confronter des opposés et faire en sorte que les personnages ne soient jamais tout blancs ou tout noirs. L’histoire se construit d’elle même après. Je sais où je veux les mener, mais je ne prends jamais de notes.
Laulitta: J’ai une idée générale. Je sais qui sont mes méchants, les caractères de mes personnages principaux et les grandes intrigues de mon histoire. Ensuite, j’avance et à mesure.
- Quand as-tu commencé à écrire et quels sont tes premiers écrits ?
Artemissia: quand j’étais gosse. J’adorais ça. C’était surtout des rédactions qui faisaient facilement 5, 6 pages. Et il y a plus de 12 ans, j’ai commencé à écrire des fanfictions et depuis… je continue à en écrire.
Elora: J’ai commencé à écrire régulièrement, il y a cinq ans seulement. J’ai commencé avec des fanfictions.
Laulitta: J’ai écrit un peu lors du nano de l’année dernière. Je me rends compte cette année qu’il faut vraiment que j’acquiers de la pratique. C’est un exercice que je trouve assez difficile mais vraiment libérateur.