Magazine Société
Leonard Cohen est une de mes déceptions musicales. Je l’entendais au hasard des programmations des rares radios que j’écoute. Sa « golden voice » et certaines de ses formules (« dance me to the end of love ») me restaient dans l’oreille. Mais lorsque j’ai voulu mieux connaître ses chansons, mon admiration s’est éteinte. L’orchestration s’était complexifiée avec le temps, ce que je n’aime pas. Et surtout je ne résistais pas à la répétition : il n’y avait que ce que j’avais remarqué dans son œuvre : une belle voix et quelques formules heureuses.
Et si c’était la rançon du marché ? Il formate des produits de consommation de masse ?