Symbole international du risque biologique.
Alors que se tient aux Nations unies à Genève la 8ème Conférence d’examen de la Convention sur les armes biologiques, le CICR, par la voix de sa vice-présidente, Christine Beerli, a pu exposer en 5 vœux les positions de l’Institution :
[Lire l’intégralité de la déclaration du CICR]
1 : les États parties devraient mettre au point un moyen efficace pour suivre et évaluer la conformité avec la Convention sur les armes biologiques. (…)
2 : les États parties doivent rester prêts à intervenir et à s’entraider en cas d’emploi des armes biologiques. Les efforts conjoints visant à renforcer la préparation devraient consister à améliorer les capacités à porter assistance aux victimes d’une telle attaque. (…)
3 : Les États parties doivent rester au courant des avancées scientifiques et technologiques rapides et des risques potentiels inhérents afin de prévenir le développement et l’utilisation des armes biologiques tout en veillant à ce que la recherche biologique à des fins pacifiques et bénéfiques demeure sans entrave. (…)
4 : les États parties doivent poursuivre leurs efforts pour promouvoir l’adhésion universelle à la Convention sur les armes biologiques. Rien ne justifie qu’un État ne soit pas partie au traité. (…)
5 : les États parties doivent veiller à ce que leur législation nationale reflète les obligations internationales et que des mesures appropriées soient mises en place en matière de sécurité biologique, de biosécurité, de contrôle des exportations et d’exécution. (…)