L’école primaire implantée au douar Nouaria dans la Commune d’Ain Fekan a enregistré durant la rentrée scolaire 2016 /2017 deux élèves,
une fille et un garçon seulement, le reste des enfants du Douar ont été scolarisés dans d’autres écoles, vu que le Douar en question est touché par l’exode rural. Le père de la fillette a décidé à son tour de transférer sa fille vers une autre école pas loin de son domicile, et c’est le garçon qui demeura seul dans cette école ,pour lequel l’Administration de l’éducation lui a consacré deux enseignants,
l’un pour la langue Nationale (Arabe) et l’autre pour la langue Française, néanmoins prenant conscience de cette situation qui s’avère anti pédagogique, l’Administration de l’Education décide de transférer l’enfant dans une autre école distante de moins de 3 km du domicile familial et lui assure le transport et l’école fut fermée.
Est-ce une solution ? L’école à l’abandon va être livrée à la dégradation et au vandalisme, On aurait dû, disait si Abdellah, penser à peupler cette école par d’autres élèves à partir des écoles de la localité afin qu’elle soit préservée de la dégradation en attendant qu’il y aura peut être le retour d’autres familles.