Nouvelle affaire des emails de Madame Clinton. Patatras. Coup de théâtre. On disait l'élection pliée. Tout est à refaire. Le Français est atterré. Lui qui croît à la vérité. Mais il n'en est pas de même aux USA.
Probablement, la vérité n'existe pas, là-bas. Ce qui compte, c'est la capacité du champion à faire face à l'aléa. Tout lui est pardonné, viol, crime, parjure..., pour peu qu'il sache affronter l'adversité avec talent. Bill Clinton en a fait la démonstration. Ce qui a été fatal à Nixon, ce n'est pas le Watergate, mais sa gueule de triste sire. Et si le principe de la culture américaine, au sens de Montesquieu, était "l'optimisme", au sens du psychologue ?
Voilà. Dieu a lancé un nouveau défi à nos deux héros. Lequel d'entre-eux, va le mieux en tirer profit ?