Les divins secrets des petites ya-ya de Rebecca Wells

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete

Les divins secrets des petites ya-ya de Rebecca Wells

Nombre de pages :  544 pages
Editeur :  Charleston
Date de sortie :  14 octobre 2016
Collection :
  Poche
Langue : Français
ISBN-10:  2368121137
ISBN-13:  978-2368121139
Prix Editeur : 8,90€
Disponible sur Liseuse : Non

Son résumé :

‘Une danseuse de claquettes maltraite ses enfants…’ Quand Vivi Walker lit dans le ‘Sunday New York Times’ le portrait que brosse d’elle sa fille Siddy, metteur en scène à succès, elle la renie sur-le-champ. Afin d’aider à renouer le dialogue entre la mère et sa fille, les amies intimes de Vivi finissent par la persuader d’envoyer à Siddy son album souvenir : ‘Les divins secrets des petites ya-ya’.

Siddy va alors plonger dans l’univers des ya-ya, du nom cajun que les quatre amies se sont donné lors de leur folle jeunesse en Louisiane. Elle découvre un petit groupe à part, soudé par une amitié que rien n’a jamais pu affaiblir. À travers ces souvenirs fragmentés, Siddy découvre ainsi une image inattendue de l’exubérante Vivi, une femme meurtrie que seul le soutien indéfectible de ses amies a pu maintenir debout.

Mon avis :

Ce roman nous raconte l’histoire de plusieurs générations de femmes, mêlant le présent et le passé. En premier, on découvre Siddy, une metteuse en scène renommée, qui va se mettre à dos Vivi, sa mère, lors d’une interview lorsque qu’elle évoque les maltraitances qu’elle a subies de sa part dans son enfance. Aussitôt sa mère la renie et Siddy se retrouve perdue dans sa vie et dans son mariage. Afin de renouer le lien avec elle, elle va se plonger dans l’album souvenir de sa mère, élégamment nommée « Les divins secrets des petites ya-ya ».

Les ya-ya, c’est sa mère Vivi et ses trois amies Caro, Teensy et Neecie. Autour d’elles, on va se plonger dans l’univers du Bayou, en pleine Louisiane dans les années 40. Siddy va découvrir des pans entiers de la vie de sa mère en même que temps que nous-mêmes apprenons à découvrir les fameux personnages. Malgré le cadre enchanteur et la belle histoire qui s’annonçait, ça n’a pas pris avec moi.

Le premier défaut de ce livre, ce sont les longueurs qui ont sérieusement handicapés ma lecture, à commencer par le début qui a été très long pour moi. J’ai commencé à rentrer dans l’histoire au bout d’une centaines de pages sur 550 heureusement. En plus, j’ai trouvé l’intrigue très mal amené, du coup j’ai été plutôt perplexe pendant ce début de lecture. Malheureusement, les longueurs ont toujours été présentes par la suite, ce qui  a rendu ma lecture de ce livre très longue et peu captivante.

Le roman se construit sur le point de vue de Siddy, qui parcoure l’album souvenir de sa mère puis on a le point de vue de sa mère, qui raconte ses souvenirs du passé. Le roman est donc à deux voix mais cela a entrainé beaucoup de confusion. Les changements de temps étaient très brouillons et mal amenés, d’un paragraphe à l’autre on change de point de vue, sans trop d’indices ultérieurs.

Je passe maintenant au positif, car certaines choses sont venues totalement rattraper ce que j’ai précédemment évoqué ! J’ai été plongé avec succès dans l’histoire de Vivi et des autres ya-ya  dans le coeur du roman, j’ai aimé découvrir ses quatre filles pleines de vie par petites touches à travers des lettres, récits de vie ou photos que pouvait décrire Siddy. J’ai d’ailleurs totalement préféré ces parties là plutôt que le point de vue de Siddy qui se révélait assez souvent déprimante et renfermée sur elle-même.

Ce qui m’a également plu dans ce roman, c’est les multiples sujets qu’il évoque : la ségrégation, la Louisiane de l’époque, la seconde guerre mondiale, les droits des femmes, la religion, etc…Beaucoup de sujets que je trouve intéressants dans la littérature et qui ont complètement éveillé mon intérêt pour ce roman.

Je ressors de cette lecture avec un ressenti assez mitigé, c’est une belle lecture avec des sujets variés et digne d’intérêts mais les nombreuses longueurs et confusions de ce roman me laissent un souvenir amer.

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Les divins secrets des petites ya-ya de Rebecca Wells

Nombre de pages :  544 pages
Editeur :  Charleston
Date de sortie :  14 octobre 2016
Collection :
  Poche
Langue : Français
ISBN-10:  2368121137
ISBN-13:  978-2368121139
Prix Editeur : 8,90€
Disponible sur Liseuse : Non

Son résumé :

‘Une danseuse de claquettes maltraite ses enfants…’ Quand Vivi Walker lit dans le ‘Sunday New York Times’ le portrait que brosse d’elle sa fille Siddy, metteur en scène à succès, elle la renie sur-le-champ. Afin d’aider à renouer le dialogue entre la mère et sa fille, les amies intimes de Vivi finissent par la persuader d’envoyer à Siddy son album souvenir : ‘Les divins secrets des petites ya-ya’.

Siddy va alors plonger dans l’univers des ya-ya, du nom cajun que les quatre amies se sont donné lors de leur folle jeunesse en Louisiane. Elle découvre un petit groupe à part, soudé par une amitié que rien n’a jamais pu affaiblir. À travers ces souvenirs fragmentés, Siddy découvre ainsi une image inattendue de l’exubérante Vivi, une femme meurtrie que seul le soutien indéfectible de ses amies a pu maintenir debout.

Mon avis :

Ce roman nous raconte l’histoire de plusieurs générations de femmes, mêlant le présent et le passé. En premier, on découvre Siddy, une metteuse en scène renommée, qui va se mettre à dos Vivi, sa mère, lors d’une interview lorsque qu’elle évoque les maltraitances qu’elle a subies de sa part dans son enfance. Aussitôt sa mère la renie et Siddy se retrouve perdue dans sa vie et dans son mariage. Afin de renouer le lien avec elle, elle va se plonger dans l’album souvenir de sa mère, élégamment nommée « Les divins secrets des petites ya-ya ».

Les ya-ya, c’est sa mère Vivi et ses trois amies Caro, Teensy et Neecie. Autour d’elles, on va se plonger dans l’univers du Bayou, en pleine Louisiane dans les années 40. Siddy va découvrir des pans entiers de la vie de sa mère en même que temps que nous-mêmes apprenons à découvrir les fameux personnages. Malgré le cadre enchanteur et la belle histoire qui s’annonçait, ça n’a pas pris avec moi.

Le premier défaut de ce livre, ce sont les longueurs qui ont sérieusement handicapés ma lecture, à commencer par le début qui a été très long pour moi. J’ai commencé à rentrer dans l’histoire au bout d’une centaines de pages sur 550 heureusement. En plus, j’ai trouvé l’intrigue très mal amené, du coup j’ai été plutôt perplexe pendant ce début de lecture. Malheureusement, les longueurs ont toujours été présentes par la suite, ce qui  a rendu ma lecture de ce livre très longue et peu captivante.

Le roman se construit sur le point de vue de Siddy, qui parcoure l’album souvenir de sa mère puis on a le point de vue de sa mère, qui raconte ses souvenirs du passé. Le roman est donc à deux voix mais cela a entrainé beaucoup de confusion. Les changements de temps étaient très brouillons et mal amenés, d’un paragraphe à l’autre on change de point de vue, sans trop d’indices ultérieurs.

Je passe maintenant au positif, car certaines choses sont venues totalement rattraper ce que j’ai précédemment évoqué ! J’ai été plongé avec succès dans l’histoire de Vivi et des autres ya-ya  dans le coeur du roman, j’ai aimé découvrir ses quatre filles pleines de vie par petites touches à travers des lettres, récits de vie ou photos que pouvait décrire Siddy. J’ai d’ailleurs totalement préféré ces parties là plutôt que le point de vue de Siddy qui se révélait assez souvent déprimante et renfermée sur elle-même.

Ce qui m’a également plu dans ce roman, c’est les multiples sujets qu’il évoque : la ségrégation, la Louisiane de l’époque, la seconde guerre mondiale, les droits des femmes, la religion, etc…Beaucoup de sujets que je trouve intéressants dans la littérature et qui ont complètement éveillé mon intérêt pour ce roman.

Je ressors de cette lecture avec un ressenti assez mitigé, c’est une belle lecture avec des sujets variés et digne d’intérêts mais les nombreuses longueurs et confusions de ce roman me laissent un souvenir amer.