Aïe. Pas de rose bonbon et encore moins de rose layette au programme aujourd'hui. En fait ça serait plus un mélange de rouge cramoisi et de noir intense. À l'image des scènes d'horreur entraperçues à travers mes doigts couvrant mon visage hier soir...
Déception, ô déception.
J'ai attendu le retour de l'Homme pour que nous mations ensemble le 1er épisode de la 7ème saison de The Walking Dead. Retour des plus attendus à la maison.
Rude (euphémisme). Insoutenable plutôt (moui, ça convient mieux).
Je suis déçue de chez déçue par le scénario sans pitié, sans espoir de ce début de nouvelle saison. On se demande un peu à quoi bon nos héros ont été si courageux, si valeureux si longtemps pour périr aussi soudainement et aussi violemment.
C'est vrai ça, ils ont toujours lutté, dès le premier instant. Et là,BIM, une grange claque dans ta face de spectateur (pardon pour l'image, essayons de ne pas trop penser à "Lucille" la batte barbelée de Negan ...) : c'est un véritable jeu de massacre, sans parler de la torture psychologique qui s'ajoute à tout ça.
Du sadisme comme jamais.
Ce premier épisode me laisse un arrière goût de déception amère.
Evidemment une petite chose nous motive à regarder l'épisode suivant lundi prochain : cette satanée envie de vengeance. On croise les doigts pour que l'équipe se relève (tout en se demandant comment ils vont bien pouvoir surmonter tout ça et continuer sans "nos chers disparus").
Negan est LE super vilain par excellence. Puissant, complètement fou, pour le moins psychopathe (encore plus taré que les cannibales de Terminus), ivre de pouvoir (bien plus que le "Gouverneur") et en apparence invincible.
Alors, on n'a qu'une seule envie : être débarrassé de lui !!
Pour sûr, on est bien loin des saisons pépère à Alexandria ! (Ok, c'était un peu trop "la petite maison dans la prairie" mais était-il bien nécessaire de prendre un contre pied aussi radical ?)
Bon, je reste sympa, je ne vous dirai pas (du moins pas aujourd'hui, on en reparlera peut être dans quelques épisodes) de qui Negan a-t-il tué -enfin fracassé avec sa batte- (je n'en reviens toujours pas).
Âmes sensibles -pas de doute- fuyez !