Magritte à Beaubourg : la trahison des images

Publié le 24 octobre 2016 par Nathpass
Pour tous ceux qui comme moi se sont dit : Magritte, je connais, eh bien non... surtout qu'ils volaient haut ses rêves. Vous savez pourquoi il s'est fâché avec Breton, parce que ce dernier a demandé lors d'une réunion, que la femme de Magritte retire de son cou une petite chaîne avec une croix en or. Elle est partie et son mari l'a suivie, car il était amoureux fou de sa femme....
"Tous les jours (sauf mardi) de 11h à 21h
https://www.centrepompidou.fr/cpv/resource/c65EMjd/r45MbXB
Nocturne jusqu'à 23h tous les jeudis soirs, et tous les lundis soirs à partir du lundi 3 octobre
L’exposition Magritte. La trahison des images propose une approche à ce jour inédite de l’œuvre de l’artiste belge René Magritte. Rassemblant les œuvres emblématiques, comme d'autres peu connues de l’artiste, provenant des plus importantes collections publiques et privées, l’exposition offre une lecture renouvelée de l’une des figures magistrales de l’art moderne.
Une centaine de tableaux, de dessins, et des documents d’archives, sont réunis pour offrir au public cette approche qui s’inscrit dans la ligne des monographies que le Centre Pompidou a consacré aux figures majeures de l‘art du 20e siècle : « Edward Munch. L’œil moderne », « Matisse. Paires et séries » et « Marcel Duchamp. La peinture, même ». L’exposition Magritte. La trahison des images explore un intérêt du peintre pour la philosophie, qui culmine, en 1973, avec Ceci n’est pas une pipe que publie Michel Foucault, fruit de ses échanges avec l’artiste.
Dans une conférence qu’il donne en 1936, Magritte déclare que Les affinités électives, qu’il peint en 1932, marque un tournant dans son œuvre. Ce tableau signe son renoncement à l'automatisme, à l’arbitraire du premier surréalisme. L’œuvre, qui montre un œuf enfermé dans une cage, est la première de ses peintures vouée à la résolution de ce qu’il nomme : un « problème ». Au hasard ou à la « rencontre fortuite des machines à coudre et des parapluies », succède une méthode implacable et logique, une solution apportée aux « problèmes » de la femme, de la chaise, des souliers, de la pluie… Les recherches appliquées à ces « problèmes », qui marquent le tournant « raisonnant » de l’œuvre de Magritte, ouvrent l’exposition.
L’exposition sera présentée dans un format restreint à la Schirn Kunsthalle Frankfurt, en Allemagne du 10 février au 5 juin 2017.
Commissaire : Mnam/Cci, Didier Ottinger"
4, 5... reproductions de mes tableaux préférés pour leur titres aussi(mais allez-y pour de vrai les voir, sur place, c'est tellement une illusion de couleur les reproductions par rapport aux vrais tableaux, c'est comme si on les déguisait pour nous les rendre indifférents....) : la Mémoire, Variante de la tristesse, les Mémoires d'un saint, Les Amants...
Et j'en ai repeint ma mémoire de plein d'autres tableaux, l'Art de la conversation, la voix de l'absolu, l’Évidence éternelle (un nu de femme en cinq petits tableaux espacés  les uns au dessus de l'autre, le cerveau imagine complète les manques), 

l’Évidence éternelle

http://www.toutpourlesfemmes.com/loisirs-culture/expos/fonce-voir-magritte-au-centre-pompidou Le Blanc-Seing 1965(la cavalière qui cache les arbres)....il y avait un monde fou : 75mn d'attente dimanche... plus tard il a plu fort, on voit le dehors du paquebot Beaubourg,  et il y avait encore quelques parapluies qui attendaient... après on est allé dans Beaubourg regarder au sous sol en passant, l'annonce de la rétrospective intégrale de Jafar Panahi, et puis pour ne pas quitter ce lieu ou seul ou avec de la compagnie on se sent bien et ensemble, j'ai pris à la cafette un vrai thé chaï avec de la cardamome(c'est un thé au lait, boisson nationale en Inde, on vous en sert toute la journée, c'est Pascal qui m'a raconté).

la Mémoire


Variante de la tristesse


les Mémoires d'un saint


Les Amants