Le vrai visage de l’antifascisme

Publié le 21 octobre 2016 par Activeast @activeast

Publié le 19 octobre 2016 par Nico le Taureau sur croa.fr

« S’il y a une maladie qui ronge la société française sur le plan idéologique, c’est bien celle qu’on pourrait appeler « gauchisme », ou « antifascisme ». Le gauchisme se caractérise par la soumission à la doxa dominante, qui rend ses membres totalement conditionnés par le Système au moyen d’une doctrine sclérosée, qui l’enferme dans une prison intellectuelle. Quand à l’antifascisme, il se caractérise par le rejet de tout ce qui représente la Nation, ses traditions (surtout chrétiennes), son Histoire et sa culture ; une volonté d’abolition du passé. Ces deux idéologies, qui vont de pair, prônent le déracinement et l’internationalisation du monde, ce qui les rendent compatibles avec le mondialisme des Rockefeller et des Rothschild.

Le diagnostique auquel nous allons procéder vise avant tout à dénoncer une escroquerie intellectuelle et à y apporter un remède, pour le bien commun. En effet, depuis plusieurs décennies, ces idéologies n’ont eu de cesse de jouer le camp mondialiste, c’est-à-dire celui de l’Anti-France.

La GPA sera le genre inhumain !

Déjà, le gauchiste défend mordicus les projets contre-nature comme le Mariage pour tous accompagné de la PMA-GPA, soit la désacralisation du mariage et son corollaire : la marchandisation du corps de la femme et de l’enfant. Aux États-Unis, ce « marché » est fructueux : entre 25 000 et 35 000 $ pour une mère porteuse employée, tandis que l’agence qui la met en relation avec les futurs parents de son enfant touche plus de 20 000 $. Le Capital s’engraisse davantage. Venant de gens qui se prétendent humanistes et surtout anticapitalistes, c’est plutôt contradictoire de la part des gauchistes…

Defendons l’Europe des banquiers !

Par ce qu’il pense être de l’antifascisme authentique, le gauchiste se lance dans la chasse aux patriotes, considérés selon lui comme de dangereux fascistes, en prétendant voler au secours de la démocratie et des droits de l’Homme. Ainsi, défendre et reconquérir la souveraineté nationale – bafouée lorsque la volonté du peuple français s’est exprimée en 2005 contre la Constitution européenne, puis piétinée avec le traité de Lisbonne par une caste européiste et un président traître à la France – serait considéré comme du fascisme.

Idem pour les partisans de la sortie de l’Union européenne par voix référendaire, alors qu’il n’y a pas processus plus démocratique que le référendum. C’est dans cette optique que nous avons observé, suite au Brexit, des antifascistes d’extrême gauche défilant pour le maintien du Royaume-Uni dans l’UE, ce qui les plaçaient dans le même camp que la Finance internationale, incarnée par Goldman Sachs, avec toute la caste bureaucratique européenne qui défendaient également le Remain. Des rebelles anticapitalistes, vous avez dit ? Peut mieux faire !

Nous sommes tous des enfants de Soros ! Première, deuxième, troisième génération !

La défense du système immigrationniste, coûte que coûte, au nom d’un pseudo-humanisme, est un symptôme supplémentaire de cette maladie sociétale. Comment rester à ce point aveugle malgré les conséquenses désastreuses que tout le monde peut constater en observant le quotidien des Français ? L’immigration a d’abord servi comme main d’oeuvre bon marché pour le Capital apatride, en pesant à la baisse sur les salaires pratiqués en France. L’immigation a ensuite été employée comme manipulation politique, avec la création de SOS Racisme, dont le but était à l’origine de faire voter les Beurs et les Noirs pour le Parti Socialiste, qui avait abandonné le vote ouvrier et les bienfaits de l’État providence pour plier genoux face à la mondialisation ultralibérale que nous subissons encore aujourd’hui. SOS Racisme n’avait en fait pas pour but le vivre-ensemble comme elle le prétendait, mais plutôt la survivance du racisme, pour inciter au communautarisme et faciliter ensuite la montée des communautés les unes contre les autres, notamment en ne prenant en compte que certains types de racisme et pas d’autres (ou beaucoup moins, comme le racisme anti-Blancs).

Enfin, l’immigration est utilisée dans le cadre de l’idéologie du « métissage forcé et généralisé des peuples », voulu par les néoconservateurs américains et le petit club du mondialisme messianique afin d’asservir le continent européen, sachant pertinemment que le brassage des peuples peut amener à des frictions d’ordre culturelle, voire au communautarisme et à des agressions, comme dans certaines zones dites « sensibles », jusqu’à la jungle de Calais.

Ce n’est pas pour rien si le spécialiste de la subversion et de la manipulation des masses, George Soros, finance via son Open Society Foundations les No Borders, un groupe d’extrême gauche se définissant comme « antiraciste, antifasciste et antinationaliste » et favorable à l’arrivée en masse des « migrants » en Europe. L’Open Society est connue pour être une succursale de la CIA, en lien avec la National Endowment for Democracy (NED), qui est financée par le Département d’État américain.

On retrouve même parmi les soutiens financiers des No Borders :

  • L’Union européenne, dont la Commission européenne, le Parlement européen et le programme Erasmus
  • Le ministère de l’Éducation de Slovénie
  • Le Home Office (le ministère britannique de l’Intérieur)
  • Le Département fédéral suisse des Affaires étrangères
  • Le Jewish Humanitarian Fund
  • L’OSCE
  • La Fondation Rothschild

Ni Dieu, ni Maître, vraiment ? La sagesse populaire énonce que la main qui donne [l’argent] est au-dessus de celle qui reçoit. En d’autres termes, c’est celui qui paye qui commande !

#JeSuisCharlie… et #JeSuisDaesh !

Pour bien faire ressortir la profonde schizophrénie du gauchiste, voici le bouquet final.

Suite aux attaques terroristes chez Charlie Hebdo, le gauchiste n’a pas perdu son temps pour rameuter ses camarades et foncer à la place de la République, armé d’un stylo, tout en partageant sur son compte Facebook l’affiche « Je suis Charlie » en guise de soutien à la liberté d’expression. Pourtant, suite à la manifestation du 16 octobre 2016, organisée par la Manif pour tous, nous avons pu observer sur Twitter des messages de ces mêmes gauchistes appelant ouvertement à un attentat terroriste contre cet événement, demandant à Daesh « d’agir ». Le gauchiste respecte tellement la liberté d’expression qu’il veut voir ses adversaires périr dans un attentat terroriste. Terrorisme qu’il dénonçait la veille, par ailleurs…

En conclusion

Le gauchiste est un idiot utile du Système. C’est un internationaliste de base, il sera donc toujours dans le camp antinational. Il se vautrera aussi dans l’anathème, en traitant ses adversaires de tous les noms, ne tolérant pas la contradiction apportée par ses adversaires puisque ne disposant pas dans son éventail idéologique de contre-arguments valables. En somme, sans qu’il s’en rende compte, il est le parfait supplétif de l’Oligarchie mondiale, qui se complaît à manipuler la jeunesse au coeur sensible et à la conscience politique encore fragile.

Suite à ce diagnostique, une importante introspection semble nécessaire pour le sujet contaminé, dans l’espoir qu’il puisse un jour guérir. La société française ne s’en porterait que mieux. »


Capture d’écran du site Internet des No Borders, Unitedagainstracism.org, qui affiche fièrement ses sponsors de premier ordre.