Après un premier tome fracassant illustré par le frérot Andy Kubert, nous narrant la jeunesse de celui qui allait devenir Wolverine et le drame qui allait réveiller ses pouvoirs latents, nous voilà avec une suite qui raccroche un wagon (mais pas tous).
On retrouve James Howlett, alias Logan, désormais retourné à la vie sauvage. Mais un drame va de nouveau survenir qui va le faire revenir à la vie « civilisée » et le mettre aux prises avec un cirque itinérant mené par la famille Creed (tiens, tiens…) et une sorte de savant fou qui désire comprendre et exploiter les spécificités de Wolvie.
Alors, oui, d’accord, mais, bon : au final, Dawg, c’était ou c’était pas le frère de James Howlett ? Ce n’est pas lui qui devient Dents-de-Sabre ? Qu’est-il devenu ? Quelle heure est-il ? Quand est-ce qu’on mange ? (Oui, parce que dans le premier film Wolverine: Origines, il se sont permis de mettre les deux pieds dans le plat et hop : C’est bon, c’est son frère, on passe à autre chose)
On regrettera aussi qu’Adam Kubert ait dessiné un Logan trop propre sur lui alors qu’il vit au milieu d’une meute de loups et devrait donc plus ressembler à Hugh Jackman au début de Wolverine; le combat de l’immortel, plutôt que ce jeune premier (et puis il est bien trop grand ! Il est censé faire 1,6m au garrot (contrairement à ce que dit le marvel wikia).
Bref, une jolie histoire, mais on attendait mieux pour servir le mutant griffu.