J'ai raté ma vocation.
J'aurais du être libraire mais voilà, j'ai pas eu les tripes. Alors à défaut aujourd'hui je me contente d'entrer régulièrement dans les librairies et souvent j'en ressors avec de quoi entretenir l'espoir plus loin encore sur la courbe de mon petit monde.Petit cliché de la moisson de mon passage au rayon des occasions de la librairie Gibert à Lyon vendredi dernier :Magazine Journal intime
Ce n'est pas nouveau, les libraires sont des passeurs d'espoir. En cas de besoin, me planter devant la vitrine d'une librairie suffit à me redonner le sourire. Et si par bonheur j'ai une heure devant moi (ce qui arrive hélas rarement) me pointer à l'intérieur et faire le tour des étagères d'une librairie me met en joie. Tous ces bouquins qui s'empilent et qui nous appellent, ça donne du sens au quotidien, comme des promesses de lendemains enchantés.