[Dossier] Mark Wahlberg : ses 21 meilleurs films !

Par Onrembobine @OnRembobinefr

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Depuis ses débuts, Mark Wahlberg a clairement pris une importance capitale. Après une jeunesse marquée par un certains nombres de délits, par un court séjour en taule puis par une carrière fulgurante de chanteur et de mannequin, Wahlberg est devenu un acteur sur lequel le cinéma américain a appris à compter. Aujourd’hui comédien prolifique et producteur, il est incontournable et continue joyeusement de naviguer entre blockbusters musclés et œuvres plus intimistes, changeant de registre comme de chemise. La sortie de Deepwater, le nouveau film de Peter Berg, nous a donné envie de lister les meilleurs longs-métrages dans lesquels Mark Wahlberg tient le premier rôle (ou un des premiers rôles)…

1 – Boogie Nights (Paul Thomas Anderson, 1997)
Plongée en immersion dans le milieu du porno américain à la fin des années 70, quand l’arrivée de la vidéo a bouleversé l’industrie, ce film est un chef-d’œuvre total, à la fois drôle et dramatique. Une version funky des Affranchis par l’un des plus talentueux descendants de Scorsese. Wahlberg quant à lui explose dans un rôle XXL qui lui donne l’occasion d’explorer plusieurs registres en un seul film. Scènes cultes et répliques marquantes à foison…

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2 – La Nuit nous appartient (James Gray, 2007)
L’un des meilleurs polars des années 2000. Dans un rôle étonnant de sobriété, Mark Wahlberg parvient à briller tout en se mettant au service de ses partenaires.

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3 – Fighter (David O. Russell, 2010)
Dans la peau du boxeur Mickey Ward, Wahlberg est incroyable. Le film lui, est tout simplement l’un des meilleurs jamais réalisés sur la boxe. Et vu le nombre de chefs-d’œuvre que ce sport a engendré ce n’est pas peu dire.

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4 – The Yards (James Gray, 2000)
Avant La Nuit nous appartient, James Gray opposait déjà Joaquin Phoenix et Mark Wahlberg dans un polar sombre aux implications viscérales.

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5 – Les Infiltrés (Martin Scorsese, 2006)
Mark Wahlberg tient une place à part dans ce film, en campant un personnage outrancier au possible et complètement jubilatoire.

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6 – Ted (Seth MacFarlane, 2012)
Mark Wahlberg avait déjà prouvé qu’il savait évoluer dans un environnement comique, mais là, au contact de l’ours en peluche Ted, il fait des merveilles.

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7 – No Pain No Gain (Michael Bay, 2013)
Qui aurait cru que Michael Bay avait un tel film en réserve ? Bay qui a de plus le bon goût d’associer Wahlberg et Dwayne Johnson, dont le duo est l’une des meilleures choses qui soient arrivées à sa filmographie. En meneur de troupes, Wahlberg est ici parfait.

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8 – Les Rois du Désert (David O. Russell, 1999)
À lui tout seul, Wahlberg incarne une certaine idée de la jeunesse américaine. Une jeunesse confrontée au bourbier de la guerre, au sein d’un film qui, sous couvert d’une cool attitude probante, parvient à dire bien des choses qui ont échappé à beaucoup d’autres.

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9 – Lovely Bones (Peter Jackson, 2010)
Les débuts gores, Le Seigneur des Anneaux et Le Hobbit ont tendance à injustement occulter ce drame fantastique (dans tous les sens du terme) dans lequel Wahlberg fait preuve d’une sensibilité extraordinaire.

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10 – Invincible (Ericson Core, 2006)
Si le film s’avère être une success story certes très efficace mais classique, Wahlberg lui est excellent. Il porte littéralement Invincible sur ses épaules et lui permet de se détacher de la masse des biopics sportifs focalisés sur des outsiders parvenus au sommet.

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11 – Rock Star (Stephen Herek, 2001)
Inspiré d’une véritable histoire (quand les musiciens de Judas Priest convoquèrent le chanteur d’un groupe de reprises pour remplacer leur chanteur Rob Halford), Rock Star n’est pas un grand film, mais la performance de Wahlberg vaut assurément le détour, lui qui a absolument tout compris au bruit et à la fureur du heavy metal des années 80, tout en insufflant au récit un second degré salvateur et beaucoup d’émotion.

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12 – En Pleine Tempête (Wolfgang Petersen, 2000)
En second de George Clooney, Mark Wahlberg dispense l’émotion indispensable à la bonne tenue de cette illustration spectaculaire de thématiques hollywoodiennes typiques. Discret, il trouve d’emblée la bonne tonalité et bouffe littéralement l’écran à chacune de ses apparitions, augurant encore un peu plus l’avenir radieux qui sera le sien à l’ombre du panneau Hollywood.

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13 – Very Bad Cops (Adam McKay, 2010)
Ce n’est pas le meilleur film d’Adam McKay mais le duo composé de Mark Wahlberg et de Will Ferrell fonctionne à plein régime. L’osmose entre les deux comédiens, qui se répondent et se complètent, étant aussi inattendue que jouissive.

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14 – Deepwater (Peter Berg, 2016)
Film catastrophe spectaculaire centré sur ses personnages, Deepwater bénéficie de l’implication d’un Mark Wahlberg impeccable, autant sur un plan physique qu’émotionnellement parlant. Pour ce genre de job, le comédien est l’un des meilleurs.

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15 – Ted 2 (Seth MacFarlane, 2015)
Un peu en dessous du premier volet (notamment car l’effet de surprise n’est plus là) cette suite peut néanmoins toujours compter sur un Wahlberg visiblement ravi de se faire une nouvelle fois le vecteur de la verve délirante et inspirée de Seth MacFarlane.

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16 – Very Bad Dads (Sean Anders, 2016)
Passée complètement inaperçue cette comédie familiale parfois hilarante mais il est vrai assez classique, peut clairement compter sur Mark Wahlberg qui, à nouveau inspiré par le génie comique de Will Ferrell, joue avec son image avec un second degré parfaitement à propos.

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17 – The Gambler (Rupert Wyatt, 2015)
Lui aussi est passé inaperçu et c’est dommage car Mark Wahlberg lui, s’y donne à fond. Perte de poids impressionnante à l’appui.

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18 – Quatre Frères (John Singleton, 2005)
Un film d’action familial (si si) bourrin, où Wahlberg, massif, trouve le ton juste pour pousser le récit dans la bonne direction, entraînant toute la distribution avec lui. Le genre de truc qui se regarde tout seul.

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19 – The Shooter, tireur d’élite (Antoine Fuqua, 2007)
Antoine Fuqua réalise un bon gros trip rentre-dedans, et ne s’embarrasse pas des détails ou d’une quelconque forme de finesse. Clairement là pour envoyer du bois et buter des bad guys à la chaîne, Wahlberg prouve une nouvelle fois qu’il est tout aussi à l’aise dans l’action décérébrée que dans les drames intimistes.

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20 – Braquage à l’italienne (F. Gray Gray, 2003)
Casting en or pour thriller d’action sympathique et fun. En meneur, Mark Wahlberg fait le job avec classe, sans tomber dans l’excès, soucieux de donner du corps à un cahier des charges attendu mais toujours efficace.

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21 – Big Hit (Kirk Wong, 1998)
Sorte de cartoon violent pour adultes friands de déviances bis, Big Hit propose un festival d’action dont le goût est clairement rehaussé par la présence de Mark Wahlberg, dans une performance physique intense complètement dans la tonalité de l’ensemble.

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@ Gilles Rolland