Mais, puisqu'il y a oeuvre, je peux vous parler d'un roman plus ancien, paru il y a six ans, et par lequel j'avais été très impressionné. Voici donc Le siècle des nuages.
Les grands-parents maternels de Philippe Forest, qu’il n’a pas connus, ont été libraires à Mâcon. A la saison des prix littéraires, ils invitaient les habitués à écouter la radio dans le magasin pour connaître les noms des lauréats. Le romancier aime penser que, s’il reçoit un prix, la TSF leur portera la nouvelle au ciel. Nous aimerions que ça se passe ainsi.