Comme je vous tiens ici régulièrement au courant de l’avancée des tribulations judiciaro-médiatico psychiatriques de Jean Poney, je me devais de vous faire part de cette pièce à conviction plus que surprenante… Je vous avais déjà compté par le menu grâce à Julien Mucchielli et son blog éprisdejustice le contenu de son procès, en juillet dernier. Rappel :
Il s’agissait d’une sombre affaire
de barbouseriede violation de secret professionnel pour les uns, et pour l’autre journaliste de bas étage d’avoir diffusé des informations couvertes par le secret de l’enquête concernant l’attentat de Charlie Hebdo, ce funeste 7 janvier 2015. Autant vous dire qu’alors, la moindre information, son interprétation hasardeuse par sa fuite éventuelle sur les réseaux dits sociaux pouvait avoir des conséquences désastreuses, et mettre inutilement en danger la vie de certains innocents. C’est pourtant ce moment précis qu’ont choisi deux policières, un ex agent de la DGSE, Pierre Martinet, et Jean-Paul Ney, un fameux « journaliste de terrain » spécialisé dans le terrorisme et les zones de guerre, phénomène de Twitter paré au prétoire, pour balancer des informations sensibles, sans aucune précaution.
Or, nous apprenons toujours grâce à Julien que l’inénarrable journaliste à carte de presse vient d’être condamné :
La réaction consécutive de l’intéressé est ahurissante. La Team Jipoune vient de poster ceci sur Dailymotion. Je suis très inquiet pour la santé mentale de cet individu qui semble dangereux pour lui-même, voire pour les autres, comme il l’a déjà prouvé dans le passé. Quelqu’un aurait les coordonnées de l’un de ses proches, s’il en a encore, ou d’un travailleur social de secteur, qui pourrait lui venir en aide ? Il tient des propos particulièrement incohérents… Jugez vous-mêmes :
Quand Jean-Paul Ney apprend sa 5eme condamnation par TeamJipoune
>Troublant, non ? Le malaise, voyant cela, est palpable… « Maman, j’ai peur ! »
Allo, les urgences ?
Enregistrer
Enregistrer