Pour utiliser un qualificatif à la mode, c'est un « disruptor » en anglais, un perturbateur en français. Cela dit, quel exemple dégoûtant pour nos jeunesse !
Les intimidateurs de son calibre germent habituellement pendant l'adolescence et continuent ainsi jusqu'à la trentaine pour certains. Avec Donald, on couvre la gamme complète jusqu'au grade de septuagénaire.
C'est ainsi qu'il a déjà écrasé ses 16 adversaires de la primaire et il semble encore croire que sa méthode marchera tout aussi bien pour détruire Hillary Clinton.
Il est temps d'appeler un chat, un chat : Ce type est un intimidateur déchaîné, une sale grande gueule, un mal-apprit, bref quelqu'un qui devrait vivre seul, sur une île déserte ou, dieu nous protège, prendre en main une république bananière et émuler les tirants les plus odieux qui ont jalonné l'histoire.