Parce que cela faisait quand même deux semaines que je ne vous avais pas parlé sneakers (article ici), et que ça commençait à faire un chouill long, et puis surtout parce que je voulais vous parler de l’une de mes dernières acquisitions, que j’aime d’amour et de folie (oui Bernadette, je suis comme ça, je te ruine le suspens dès le début de l’article) : les Air Jordan VII – Olympic.
Genre en vous disant « Air Jordan VII – Olympic » j’ai une petite voix dans ma tête qui s’est mise à crier « hihaaaaaaa », tout en dansant la carioca.
Oui parce que cette paire à toute une histoire pour moi… Bon, ok, si vous passez souvent par ici et que vous êtes des réguliers des articles de la rubrique sneakers (ici), vous savez que presque toutes mes paires ont une histoire… Mais celle-ci est assez particulière car c’est grâce (ou à cause?) des Jordan Olympic que j’ai commencé à m’intéresser aux sneakers. Si si.
Je m’en souviens comme si c’était hier, c’était il y a un peu plus de deux ans, je passais l’après -midi avec une de mes amies, et je l’ai vue débarquer avec des Jordan VII Olympic aux pieds et je suis tombée en amour devant elles ; en rentrant chez moi et en cherchant sur l’Internet mondial je me suis vite rendue compte que la paire était introuvable ou hors de prix depuis des années… Et depuis deux ans je patiente, encore et encore, tout en parcourant les sites de sneakers à l’affut de la moindre info sur une éventuelle réédition… Puis en avril dernier j’ai appris qu’une réédition était bel et bien prévue pour mi août, et je peux vous dire qu’en apprenant la nouvelle non seulement j’ai été aussi survoltée qu’une puce sous red bull mais en plus de ça j’ai soulé tout le monde avec.
Sauf que comme je suis hyper méga trop douée, le jour de la sortie, un samedi matin, je ne me suis tout simplement pas réveillée… Oui ba non Bernadette, que veux-tu, cela aurait été bien trop facile sinon ! Donc lorsque j’ai gentiment émergée vers 11h, que j’ai compris un peu le « drame », j’ai passé le reste de ma matinée et de mon début d’après-midi à ramer comme une folle, à écumer les sites où cette paire était en vente (et la plupart du temps déjà sold out ou plus dispo dans ma pointure) tout en me maudissant d’avoir été aussi idiote, et puis miracle, joie, bonheur et Dragibus j’ai quand même réussi à mettre la main sur un 39.
Alléluia !
Très honnêtement je ne sais même plus sur quel site j’ai commandé ma paire, mais ce que je sais c’est que j’ai mis une éternité à la recevoir (genre plus de deux semaines), et que j’ai vraiment stressé (pendant ces deux p****** de semaines) que ma commande soit annulée faute de stock.
Mais non, mes Jordan sont enfin arrivées.
Et mon Dieu qu’elles sont belles.
D’ailleurs, le plus drôle dans cette histoire, sachez que si cette paire vous plait, no panic, pas la peine d’attendre des années comme moi : elle est toujours en vente sur le site Courir. Non non Bernadette, ce n’est pas une blague, il y a eu un restock, et tout compte fait cette paire est encore assez facilement trouvable.
Ouaip… c’est marrant la vie parfois.
Ou pas.