Une étude rendue publique par l’Institut national de veille sanitaire, l’Invs démontre que l’augmentation du taux de particules de polluants gazeux dans l’air ambiante intensive augmente significativement le risque de décès en milieu urbain, selon des mesures prises entre 2000 et 2004 dans neuf des principales villes françaises.
Selon les scientifiques à l’origine de cetet étude, , alors que le taux moyen des microparticules se situe aux alentours de 20 microgrammes par mètre cube, une augmentation de 10 microgrammes entraîne une hausse de 2,2 % du nombre de décès et des hausses, boen que moindres du nombre de décès sont observées concernant le dioxyde d’azote, le dioxyde de soufre, le monoxyde de carbone et l’ozone.
En fait, la pollution ne provoque pas directement la mort mais elle accélère le décès des personnes déjà très fragilisées par l’âge ou par diverses affections.