Perte de poids – L’équation de départ…
En principe, la relation de l’amaigrissement comme symptômes est facile : les apports alimentaires doivent être inférieurs à la dépense énergétique.
Ainsi, vous possédez deux options pour amaigrir votre corps : accroître votre exercice physique plus/sinon réduire vos subsistances nutritionnelles.
D’ailleurs, dès le départ il faut définir qu’il est rude d’amaigrir le corps seulement avec l’exercice physique ! Donc, pour une perte de poids 2 kilos chaque mois, vous êtes obligés de débourser 500 kcal chaque jour ce qui convient à augmenter sept lots d’une heure de compétition pédestre à son programme d’entrainement…
Le plus facile et le plus bon est alors de lancer une offensive sur les racines de la question à résoudre : corriger sa nourriture. Et pour quelle raison ne pas augmenter certains lots de fragments en supplément dans le but de booster la combustion calorique !
Les attentes d’un amaigrissement du corps abouti :
- Favoriser la perte de masse grasse
- Limiter la perte de masse musculaire
- Ne pas entraver la performance musculaire
Ne pas faire preuve d’impatience
Pariez sur le temps : les conduites très limitatifs n’exposent rien d’important et s’exposent à un danger de contrarier vos performances sportives. Si l’on poursuit quelques conduites limitatives à la façon de procéder, les masses disparaissent très rapidement cependant les solutions-sur le plan athlétique- sont pas ceux attendus.
L’influence sur l’équilibre n’est maintenant pas significative de la constitution du corps. A la fin du régime restrictif, vous aurez perdu principalement de la masse musculaire et un peu de la graisse corporelle.
Aussi dire que ceci ne vous fournira rien d’avantageux sur vos exploits athlétiques.
Pour un succès d’un amaigrissement du corps qui vise la graisse corporelle, pariez sur la fréquence : 2 à 3 kilos par mois, pas davantage.
Etape 1 perte de poids : améliorez la qualité de votre alimentation
L’amaigrissement du corps se fonde sur trois hypothèses : caractère, force et distribution. Des fois il convient d’améliorer la qualité de votre nourriture afin d’amaigrir le corps.
Pratiquement :
- Favorisez la nourriture qui vous procure beaucoup de substances bonnes pour l’organisme pour une petite masse énergétique.
- Plantes gastronomiques : 2 grandes parts de plantes gastronomiques et laitue verte en grande quantité, 2 ou 3 agrumes par jour.
- Gibiers maigres : blanc de poulet, jarret, noix, côtelette dégraissé, filet mignon, jambon découenné dégraissé, escalope, blanc de dinde, cuisse sans la peau.
- Tégument écailleux : bar, brochet, cabillaud, colin, dorade, morue, perche, raie, rouget, sole.
- Liquide : pour le moins 1,5 litres par jour.
- Aliments lactés minime en gros gras : fromage blanc 20%, yaourt ½ écrémé pur.
Réduire la nourriture déformée qui vous procure peu de substances bonnes pour l’organisme et énormément de valeur énergétique.
- Fritures, chips, beignets
- Fromages
- Charcuteries
- Alcool
- Glaces
- Biscuits, pâtisseries, viennoiseries
- Etape 2 : diminuer les quantités
Si l’amélioration de la valeur de votre alimentation n’est pas satisfaisante, vous êtes obligés de diminuer les quantités de féculents dans votre repas en débutant par des masses consommées au repas du soir.
Changez les légumes contenant de la fécule en plus par des plantes gastronomiques. Une conduite facile : toujours plus de légumes que de féculents dans votre assiette.
Un stratagème pour réduire les masses de façon très commode est de simplement changer la vaisselle et à manger dans des assiettes plus petites ! Dans la même lacée, buvez de petits verres d’alcool ou des sodas et des grands verres d’eau ou bien des tisanes.
N’éliminez pas les corps gras ! Une des grandes maladresses quand l’on veut s’amaigrir le corps est d’éliminer les corps gras. Eliminez seulement les corps gras grillés puis qu’ils ne procurent pas d’avantages nourriciers néanmoins conservez un apport en graisse de qualité comme huile de colza et huile d’olive.
Parez aussi à manger 1 ou 2 téguments écailleux gras chaque semaine comme thon, saumon, maquereau, truites, sardines, harengs, anchois…Ils vous procurent des oméga3 qui stimulent l’utilisation des graisses à l’effort qui sont importants à la vitalité du cœur et des vaisseaux.
(mieux) Perdre du poids en courant
Tentant de courir plus – et parfois n’importe comment – pour mieux perdre les kilos en trop. La pratique du running peut certes contribuer à un meilleur contrôle du poids.
Nous vous dévoilons aussi des astuces dans cet article combien de temps faut-il courir pour perdre du poids.
Attention toutefois de ne pas croire aux recettes miracles…
De mauvais augure : le fait de courir, soit cent vingt minutes par chaque jour ! N’est pas assez à assurer un amaigrissement du corps.
Une simple formule prouve la perte de poids : détruire beaucoup de quantité de chaleur – davantage ou sans l’appui d’une technique d’entrainement régulier – que l’on en mange !
Il est couramment permis qu’on doit détruire à peu près 7000 quantités de chaleur pour se défaire d’un kilo.
En plus la considération d’une nourriture stable continue d’être dans tous les cas reste la méthode préférable de toucher une masse (dit de forme) et de ne pas en changer.
Tous les diététiciens se permettent pour recommander aux athlètes – aussi aux pratiquants habituels des disciplines de résistance – d’ajouter la portion de glucides dans leur prescription alimentaire journalière jusqu’à toucher (à peu près) les pourcentages qui suivent :
50% de glucides
25% de lipides
25% de protéines
Courir régulièrement
Une fois sur les sept jours, c’est plus avantageux que néant. Cependant pour s’amaigrir, il est impératif d’être également remuant et d’être ponctuel que faisable.
Le procédé du running autorise de détruire près de 75 quantités de chaleur par kilomètre. Franchir de 30 à 50 km chaque semaine veut dire alors un manque, à alimentation équilibrée, à peu près 1500 quantités de chaleur. C’est-à-dire un déficit de 350 grammes.
Il est plus rationnel d’ajouter le nombre de lots par semaines que la période de celles-là ? Pour une cause au moins (qui n’est pas celle de l’alimentation) : on amoindrit les dangers de se blesser…
S’entraîner longtemps
Courir en condition physique – à peu près 70% de da VMA (consommation maximale d’oxygène) – est une méthode à éviter de se séparer du corps gras. Cependant il ne faut pas redouter, pour que l’activité soit actif, d’exiger des lots qui durent longtemps, ou même qui tirent à la longue.
Avantages :
- L’oxydation étant relative à la longueur de l’effort on se décharge rationnellement en plus de quantités de chaleur.
- L’oxydation de quantités de chaleur après effort est aussi plus pesante et plus longue dans la durée après des lots allongés.
(à retenir que les gros individus qui consomment tellement d’air pour se circuler, détruisent beaucoup de masse que celui des coureur fins ou que les féminins)
Travailler la vitesse
Courir plus rapidement donne la possibilité de détruire beaucoup de quantités de chaleur (pour une durée de running équilibrée) et tonifie le catabolisme à la pose. Conclusion, on détruit beaucoup de quantités de chaleur pareille quand on ne court pas.
Il est alors primordial, pour améliorer la déperdition de masse corporelle grâce à la méthode du running, de courir au début, cette démarche où l’on purifie entre des concentrations et aérobie et anaérobie.
Avantages :
En galopant à l’air, ça veut dire sans toucher le commencement de l’achèvement maximum d’air, l’athlète détruit à la fois des corps gras et du glucide de l’amidon, ces sucres lents qui constituent le combustible de la concentration.
En galopant hors de l’air, l’oxydation de corps gras s’arrête et l’athlète frappe plus de façon directe et tellement plus en grande quantité dans son bassin de glucide d’amidon. Cela provoque une oxydation de quantités de chaleur d’un degré élevé.
Au commencement, cela peut être pris comme un acte cruel, cependant le corps s’y porte excellemment – pourvu d’avoir de deux rivages libres dans son planning.
Les enseignements rationalistes montrent qu’un athlète fournit beaucoup de quantités de chaleur en galopant 60 min par jour qu’en courant qu’une heure (et à la même allure).
Éclaircissement, l’organisme poursuit de détruire après la concentration. En faisant le bi journalier, on reproduit alors la durée de l’oxydation. Autre intérêt, l’organisme supporte davantage d’exécuter douze ou quatorze kilomètres que douze à quinze.
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