Une Réussite pour le Sixième Dalaï-Lama !

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete

⭐ Le sixième Dalaï-lama – Dessinateur Zhao Ze – Auteur Guo Giang – traducteurs Nicolas Henri et Si Mo

Nombre de pages :  112 pages
Éditeur :  Les éditions Fei
Date de sortie :  19/08/2016
Langue :  Français
ISBN :  978-2-35966-248-1
Prix Éditeur :  19€
Disponible sur Liseuse : Non

Son résumé :

Tawang, Sud du Tibet, 1682.

Lobsang Rinchen vit paisiblement avec ses parents dans un petit village perché en Himalaya. Un matin, alors qu’il part retourner les champs accompagné de Gelaï, son petit renard, il fait la connaissance de Makye Ame, la fille du seigneur de Tawang. Une grande amitié naît peu à peu, et le duo devient trio avec l’arrivée de Dédi, la confidente de Makye Ame.

Mais pendant ce temps, l’empereur de Chine apprend qu’on lui a caché la mort du 5e dalaï-lama. Les lamas doivent partir à la recherche de la réincarnation du dalaï-lama et vont bientôt se retrouver à Tawang, bousculant le quotidien de nos trois amis…

Mon avis :

Avec la venue du Dalaï-Lama il y a peu, je me suis intéressée de plus près à ce monde méconnu qu’est le Tibet. Cela tombait bien ! Je venais de recevoir cette magnifique bande-dessinée sur la vie du Sixième Dalaï-Lama. La couverture attire immédiatement le regard : Lobsang Rinchen, le futur Sixième Dalai-Lama observe un oiseau perché sur sa main, les joues rosies, les yeux rêveurs…

Je savais que j’allais être emportée dans une belle histoire.

Lobsang Rinchen est un humble fils de paysan qui vit une existence tranquille dans la campagne tibétaine, toujours accompagné de son petit renard domestique (ultra chou), Gelaï. Un jour, alors qu’il va bêcher, il rencontre la belle Makye Ame, fille du seigneur local et tombe irrémédiablement sous son charme. Une amitié touchante se tisse alors avec elle et la jeune servante de Makye Ame, Dedimentok. Loin de leurs innocentes préoccupations, à Pékin, le régent du Tibet enclenche les recherches de la réincarnation du Dalaï Lama, mort quinze ans auparavant. Le si mignon Lobsang Rinchen ne s’imagine pas que son destin se trouve au-delà de son village. Éprouvé par la vie, il devra faire un choix.

Malgré quelques difficultés à retenir les noms des personnages, j’ai été éblouie par cette bande dessinée. Je l’ai même lue plusieurs fois, une fois pour la beauté des dessins, une autre fois afin de bien comprendre l’histoire et encore une dernière rien que pour le plaisir.

Les dessins sont d’une beauté… Je me suis arrêtée souvent dans ma lecture, juste dans le but de contempler les paysages, les visages doux et enfantins des enfants. J’ai retrouvé énormément de poésie dans le pinceau Zhao Ze. Parfois, j’avais l’impression de tenir dans les mains une multitude de petits tableaux tachetés de couleurs éblouissantes. Les teintes bleutées et rosâtres du ciel, les tons rouges du feu et la clarté dans les yeux des protagonistes. Je regardais un rêve coloré dans lequel les personnages arrivaient à me faire parvenir leurs sentiments.

Le dessin n’aurait  pas été aussi magnifique si l’histoire n’était pas si merveilleuse.

Le héro est adorable, je me suis attachée très vite à lui, mais aussi à ses compagnons la jolie fille de seigneur et la touchante petite servante. Sans oublier le « méga-hyper-mignon-kawaï » petit renard blanc que je rêverais d’avoir chez moi en vrai. Bien sûr, le déroulement de l’histoire est prévisible, mais cela ne change rien au sentiment de satisfaction qu’on ressent en terminant cette bande dessinée. Le Sixième-Dalaï Lama est le récit du commencement de la vie de Lobsang Rinchen en tant que Dalaï-Lama. Il montre aussi, l’enfant confronté à ses premières frustrations liées à la vie d’adulte.

Devenir Dalaï-Lama pour ce jeune garçon est sa chance, celle de sa famille. C’est aussi le sacrifice de son amour d’enfance et les promesses d’une existence mouvementée où l’amour sera confronté aux devoirs, notamment des troubles politiques avec la Mongolie. Parce que oui, il y a des méchants et je crains pour nos amis au prochain tome.

   Je suis impatiente de pouvoir lire la suite de cette bande dessinée et de retrouver ses personnages. C’est rapide à lire, de toute beauté et je conseillerai cette bande dessinée à tous ceux qui voudraient faire un cadeau à un proche.

Ce petit bijou a été un gros coup de cœur et très certainement que je le lirai de nouveau rien que pour voir encore le petit renard Geläi courir dans la nature tibétaine.

Acheter cette bande dessinée sur Amazon


Tambichette, chroniqueuse sur Songe d’une nuit d’été depuis quelques mois.

⭐ Le sixième Dalaï-lama – Dessinateur Zhao Ze – Auteur Guo Giang – traducteurs Nicolas Henri et Si Mo

Nombre de pages :  112 pages
Éditeur :  Les éditions Fei
Date de sortie :  19/08/2016
Langue :  Français
ISBN :  978-2-35966-248-1
Prix Éditeur :  19€
Disponible sur Liseuse : Non

Son résumé :

Tawang, Sud du Tibet, 1682.

Lobsang Rinchen vit paisiblement avec ses parents dans un petit village perché en Himalaya. Un matin, alors qu’il part retourner les champs accompagné de Gelaï, son petit renard, il fait la connaissance de Makye Ame, la fille du seigneur de Tawang. Une grande amitié naît peu à peu, et le duo devient trio avec l’arrivée de Dédi, la confidente de Makye Ame.

Mais pendant ce temps, l’empereur de Chine apprend qu’on lui a caché la mort du 5e dalaï-lama. Les lamas doivent partir à la recherche de la réincarnation du dalaï-lama et vont bientôt se retrouver à Tawang, bousculant le quotidien de nos trois amis…

Mon avis :

Avec la venue du Dalaï-Lama il y a peu, je me suis intéressée de plus près à ce monde méconnu qu’est le Tibet. Cela tombait bien ! Je venais de recevoir cette magnifique bande-dessinée sur la vie du Sixième Dalaï-Lama. La couverture attire immédiatement le regard : Lobsang Rinchen, le futur Sixième Dalai-Lama observe un oiseau perché sur sa main, les joues rosies, les yeux rêveurs…

Je savais que j’allais être emportée dans une belle histoire.

Lobsang Rinchen est un humble fils de paysan qui vit une existence tranquille dans la campagne tibétaine, toujours accompagné de son petit renard domestique (ultra chou), Gelaï. Un jour, alors qu’il va bêcher, il rencontre la belle Makye Ame, fille du seigneur local et tombe irrémédiablement sous son charme. Une amitié touchante se tisse alors avec elle et la jeune servante de Makye Ame, Dedimentok. Loin de leurs innocentes préoccupations, à Pékin, le régent du Tibet enclenche les recherches de la réincarnation du Dalaï Lama, mort quinze ans auparavant. Le si mignon Lobsang Rinchen ne s’imagine pas que son destin se trouve au-delà de son village. Éprouvé par la vie, il devra faire un choix.

Malgré quelques difficultés à retenir les noms des personnages, j’ai été éblouie par cette bande dessinée. Je l’ai même lue plusieurs fois, une fois pour la beauté des dessins, une autre fois afin de bien comprendre l’histoire et encore une dernière rien que pour le plaisir.

Les dessins sont d’une beauté… Je me suis arrêtée souvent dans ma lecture, juste dans le but de contempler les paysages, les visages doux et enfantins des enfants. J’ai retrouvé énormément de poésie dans le pinceau Zhao Ze. Parfois, j’avais l’impression de tenir dans les mains une multitude de petits tableaux tachetés de couleurs éblouissantes. Les teintes bleutées et rosâtres du ciel, les tons rouges du feu et la clarté dans les yeux des protagonistes. Je regardais un rêve coloré dans lequel les personnages arrivaient à me faire parvenir leurs sentiments.

Le dessin n’aurait  pas été aussi magnifique si l’histoire n’était pas si merveilleuse.

Le héro est adorable, je me suis attachée très vite à lui, mais aussi à ses compagnons la jolie fille de seigneur et la touchante petite servante. Sans oublier le « méga-hyper-mignon-kawaï » petit renard blanc que je rêverais d’avoir chez moi en vrai. Bien sûr, le déroulement de l’histoire est prévisible, mais cela ne change rien au sentiment de satisfaction qu’on ressent en terminant cette bande dessinée. Le Sixième-Dalaï Lama est le récit du commencement de la vie de Lobsang Rinchen en tant que Dalaï-Lama. Il montre aussi, l’enfant confronté à ses premières frustrations liées à la vie d’adulte.

Devenir Dalaï-Lama pour ce jeune garçon est sa chance, celle de sa famille. C’est aussi le sacrifice de son amour d’enfance et les promesses d’une existence mouvementée où l’amour sera confronté aux devoirs, notamment des troubles politiques avec la Mongolie. Parce que oui, il y a des méchants et je crains pour nos amis au prochain tome.

   Je suis impatiente de pouvoir lire la suite de cette bande dessinée et de retrouver ses personnages. C’est rapide à lire, de toute beauté et je conseillerai cette bande dessinée à tous ceux qui voudraient faire un cadeau à un proche.

Ce petit bijou a été un gros coup de cœur et très certainement que je le lirai de nouveau rien que pour voir encore le petit renard Geläi courir dans la nature tibétaine.