Tout commençait plutôt bien avec une intrigue plantée dans le monde peu reluisant de la téléréalité. Josh Shors est animateur à Chicagi d'une émission alliant subtilement -ou pas - décoration intérieure et thérapie familiale. Son père, Carl, est un peintre qui finit sa vie à St Paul de Vence et qui découvre un secret de famille qui le conduit au suicide (oui, il est comme ça Carl, radical !) Alors qu'il apprend qu'il va lui-même devenir père, Josh se retrouve à devoir démêler les fils de son histoire familiale avec au centre un tableau de Otto Dix représentant son père.
C'est long, trop long, si bien que j'ai abandonné les personnages à leur sort, tout comme j'avais lâché en cours de route La déesse des petites victoires. Les personnages sont très nombreux et on peine à comprendre au premier abord leurs liens, liens qui s'expliquent par la suite sans doute mais je n'ai pas eu la patience d'attendre. En lisant le billet de Clara, je me dis que j'ai peut-être eu tort de m'arrêter à cette première partie centrée sur Josh, mais que voulez-vous, il y a tant de livres qui m'attendent, que quand ça bloque, eh bien je préfère passer au suivant !!
D'autres avis sur Babelio (avis bien plus positifs que le mien !) Télérama