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Fille de Zeus et de Thémis, Astrée a d’abord vécu sur Terre, durant l’âge d’or, soit les mille ans d’or mis mais sans amant mortel, prénommé Emile, qui aurait eu le syndrome de la belle au dormant.
Elle habita la Terre mais les crimes des humains dans les âges d’airain et de fer la forcèrent à rejoindre papa et maman dans le ciel. Elle retrouva là cent sœurs : les Heures, les Moires, les Nymphes…
On lui confia le rôle de déesse vierge de la justice et une balance !
Les mauvaises langues diront qu’elle est restée vierge en dépit de son plein gré car elle ressentit, là, manque Astrée (l’amant castré ?).
Le bel âge d’or et son fonds sied Au cœur terrien qui n’tentait rien Pour joindre les divinités Et leur Eden épicurien
Mais l’âge des reins en scène effrite Son cœur : elle veut gagner le ciel Retrouver Zeus, Thémis, les mythes De ses parents providentiels
Elle y vécut, déesse vierge De la justice vers où convergent Les âmes à zone à partager
Veilla aux plus claires de nos terres Avec are tel qu’on s’y réfère Quand on évoque les cas d’Astrée !