Crédit Photo @DanyMasson 2011 Dans quelle direction ?
Comme sombrent les nations ….
Quand la Vengeance écoute la requête du Fou
Quand la Haine annule l'analyse et la Raison
Losque j’ai commencé à rédiger cet article, les événéments qui ont fait des morts à Kinshasa, les 19 septembre 2016 et le 20 septembre 2016, lors de manifestations organisées par l’Opposition et qui ont été reprimées par la Polce (PN) n’avaient pas encore eu lieu.
Nous sommes entré dans un engrenage de la violence qui était prévisible, tant les positions défendues par les deux parties, Opposition et Majortié Présidentielle (MP) sont opposées.
Je regrette, vivement ce qui se passe. Je me suis fait entendre via Twitter, sur Facebook et dans ce blog. “Chronique d'un carnage annoncé”. “Descente aux enfers”.
Je suis outré de la manière utilisée par l’oppositon pour instrumentaliser la population avec des propos “Populistes”, “Ethniques” ou “Nationalistes”. Je suis déçu du silence du Président quant à ce qu’il entand et attend de ces semaines et mois à venir.
Je me sent agressé, chaque jour sur les "réseaux Sociaux" tant la haine est perceptible, l'appel au sang y est criant. Sous couvert d'anonymes, sous couvert de l'appel à la Démocratie, c'est de vindicte dont il est question. J'appel les intellectuels à se mobiliser pour prendre leur plume et appeler de leurs voeux que le sang ne coule plus. Que le dialogue est nécessaire.
Comme disait Mitterand, "Donnons le temps au Temps !"
Pour l’Opposition, à quelques Leaders près, “C’est tout, tout, tout ”, même le Chao, et le Néant SAUF Joseph Kabila. Sauf, le Dialogue afin d’arriver à un concensus sur une date “possible” à laquelle, les élections pourront se tenir. Etant donné le budget nécessaire. Les données nécessaires au bon déroulement de celles - ci.
Cette note, n’a nul autre objectif que donner un avis quant à la situation actuelle d’une part et dire ce que je pense du déroullement de la campagne dans les jours et semaines à venir, en vue des élections en République Démocratique du Congo, d’autre part.