Parce que le néant n’existe tant révèle le silence,
Qu’il se nomme en notre conscience,
Que viennent à notre évidence les mots de son espérance,
Ainsi le miracle de l’existence,
Nous offrir ses jours pour élever à son apogée notre amour,
Le silence a reçu tout pouvoir de l’éternité,
Il attend notre volonté en cette réalité,
En ce temps compté que recevra la mémoire de nos passés,
Se pourrait-il que ce présent soit le dernier,
Entendons la confidence du silence,
Saura-t-il nous dire quelques secrets de notre vérité.