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Storytelling visuel : comment faire

Publié le 15 septembre 2016 par Dangelsteph
storytelling visuel

C’est devenu une phrase classique dans le storytelling : “une image vaut 1000 mots” (minimum).

Ce sont les mots utilisés dans les histoires racontées qui doivent au premier chef raconter quelque chose. Mais ce n’est pas suffisant : si les véritables images utilisées pour illustrer ce storytelling ne sont pas narratives, l’association sera contre-productive.

Où trouver des images qui racontent des histoires ?

Il est facile de trouver des images… qui ne racontent rien. Il y a énormément de banques d’images disponibles, avec des illustrations passe partout. Mais il existe aussi d’autres banques d’images, avec des illustrations plus uniques, ou du moins authentiques. Ce sont ces photos ou dessins qui ont le plus de potentiel narratif. Parmi ces banques d’images plus qualitatives, il y a Pixabay, gratuite et avec droit d’usage commercial complet.

Comment travailler les images pour les rendre narratives ?

Il y a les logiciels stars de la retouche d’images, plutôt chers à l’achat. Il y a aussi des équivalents gratuits, avec moins de fonctionnalités, tout de même. Pour un storytelling itinérant, les meilleurs outils sont forcément en ligne, et dans cette catégorie, PicMonkey est intéressant pour sa simplicité et l’étendue de ses fonctionnalités. On peut transformer, retoucher des photos, donc, créer des visuels, faire des collages d’images, le tout en étant guidé par un sympathique petit singe.

Réaliser des visuels narratifs pour le web

Les images pour le web se doivent d’être flashy, il s’agira donc souvent de compositions. C’est tout un travail. Il peut être facilité par des outils tels que Canva, défini par les experts comme le programme de design le plus simple du monde.

Et pour les médias sociaux

Evidemment, on peut utiliser Canva pour faire du design pour les médias sociaux, mais il se trouve que le fameux Buffer (l’outil de partage de contenus sur les médias sociaux) a créé un service tout spécialement pour cela, avec bien entendu des passerelles faciles pour publier ses visuels sur les réseaux -bref du contenu spécifique pour eux. En plus, l’outil a un nom sympa : il s’appelle Pablo.

Et aussi des contenus générés par les utilisateurs

Sur les réseaux sociaux, les contenus générés par les utilisateurs ont la cote. Ils ont cette authenticité que les contenus “officiels” ont (trop) souvent perdu. Que diriez-vous donc de pouvoir piocher de tels contenus dans Instagram pour les partager sur vos médias officiels, en toute légalité, avec gestion des droits et tout… C’est justement ce que permet cet outil.

Et pourquoi pas en stop motion ?

Oui, en donnant à vos histoires un look de dessin animé. Là, ça nécessite du talent et du matériel, non ? Non. Stop Motion Studio permet de faire cela très facilement : il suffit de prendre des photos et de les intégrer dans cette application à télécharger.

Ou en infographies

Des infographies, des graphiques ou tout ce qui peut y ressembler… Avec Visage.

Bref, voilà un ensemble d’outils bien pratiques, et plus aucune excuse pour ne pas produire du beau et bon contenu de storytelling.


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