Alors que j’avais en tête pour thème de billet de blog ce défilement de plans sociaux plus que préoccupants qui s’accumulent les uns après les autres ( dernier en date, Alstom), je suis tombé sur cette illustration :
Face à une telle réalité, incontournable et primordiale, que dire qui ne soit vain ? Tous les plus beaux discours politiques actuels, quels qu’ils soient, d’où qu’ils viennent, tombent à plat dans leur essentielle vacuité et se montrent totalement impuissants à résorber ce problème, pourtant de la première importance, dont on parle si peu alors qu’il conditionne tant de vies… Banalisation d’un mal absolu : le chômage. Et l’on préfère donc se perdre en vaines polémiques de second ordre sur des phénomènes marginaux ? Et l’on s’étonne que de plus en plus de gens s’abstiennent, et se détournent de la chose politique ? Moi qui aime par dessus tout dans la politique les débats et discussions sur des projets de société alternatifs et innovants, je suis servi : que de la merde. Plus aucun parti ne me fait bander, alors que je suis parmi les plus passionnés de la chose. Cherchez l’erreur.
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