Des expositions bien encadrées.

Publié le par Auré_Lien &version;

De la collection Chtchoukine aux œuvres de Rembranlt. En passant par celles de Fantin-Latour ou Picasso, les tableaux accrocheront tous les regards à Paris …

L’art de la rentrée !

La Collection Chtchoukine :

C’est l’événement de la rentrée ! La Fondation Vuitton a réussi l’impossible, le retour en gloire de Sergueï Ivanovitch Chtchoukine (1854-1936). Collectionneur mythique et précurseur méconnu, il s’éprit de l’avant garde française quand la France regardait ailleurs. Son héritage fou, brisé par la révolution russe puis par le stalinisme, qui vomissait l’art occidental, est venu enrichir les 2 grands musées russes, l’Ermitage à Saint-Petersbourg et le Musée Pouchkine de Moscou. Pour la première fois, la collection est réunie en tant que telle.

Du 22 octobre 2016 au 20 février 2017 à la fondation Vuitton (Paris XVIe)

Dans l’atelier de Rembranlt :

Réunion d’une vingtaine de tableaux et d’une trentaine de dessins et gravures, tous dus à l’un des principaux génies de l’art hollandais au XVIIè siècle. Les commissaires, dont Peter Schatborn du Rijks-musem, entendant avec cette sélection mieux faire connaître la carrière et les différents processus créatifs du maître.

Du 17 septembre 2016 au 23 janvier 2017 au Musée Jacquemart-André (Paris VIIIe)

Fantin-Latour :

Au tournant du romantisme et de l’impressionnisme, du réalisme et de l’imaginaire, ce portraitiste exceptionnel doublé d’un peintre de natures mortes à la délicatesse extrême bénéficie d’une rétrospective. Elle précède celle d’Orsay sur son ami du groupe des Batignolles Frédéric Bazille (du 15 novembre 2016 au 15 mars 2017).

du 14 septembre 2016 au 12 février 2017 au Musée du Luxembourg (Paris VIe)

Picasso et Giacometti :

Après Shanghaï et Rabat, avant Moscou, la fondation Giacometti poursuit son travail d’exploration et de confrontation tout à fait étonnant. Au Musée Picasso, l’artiste suisse est face au Monitaure. LEs 2 monstres sacrés se parlent, c’est forcément un dialogue sur l’Olympe.

Du 4 octobre 2916 au 5 février 2017 au Musée Picasso (Paris IIIe)

La modernité Mexicaine :

Du couple mythique formé par Frida Khalo et Diego Rivera à Angel Zarraga, le Grand Palais accueille, via le Museo Nacional de Arte de Mexico, un vaste panorama de la modernité mexicaine, depuis les prémices de la révolution jusqu’au milieu du XXème siècle, complété par des interventions ponctuelles d’artistes contemporains.

Du 5 octobre 2016 au 23 janvier 2017 au Grand Palais (Paris VIIIe)

L’art contre l’esclavage :

Daniel Soutif, à qui l’on doit « le siècle du Jazz » en 2009, récidive. Dans les mêmes espaces, « The Color Line » retracera par l’art, l’affiche, le film ou le document 150 ans de ségrégation des Noirs aux États Unis. Cette histoire douloureuse sera, entre autres, l’occasion de découvrir des peintres afro-américains méconnus de ce côté-ci de l’Atlantique.

Du 4 octobre 2016 au 15 janvier 2017 au Musée du Quai Branly Jacques Chirac (Paris VIIe)

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