L'Angleterre d'Elisabeth première dans le détail de sa vie quotidienne.
C'est très bien fait, mais, finalement, je connaissais cette période mieux que je ne le pensais. Ce qui m'a surpris est que l'on y parle de "renaissance". Car l'Angleterre me semble bien loin du faste et des raffinements de la société française. Il suffit de comparer ses châteaux à ceux de la Loire pour le comprendre. Elle me paraît surtout annoncer le monde moderne. Emmenée par une directrice générale économe, à la Merkel, elle donne l'image d'une colonie de fourmis. Consciente de la modestie de ses moyens, et la grandeur des menaces qui l'environnent, l'Angleterre mène sa barque avec humilité et diligence.