La pollution a un sexe. Et il est masculin. Selon une étude remise en 2007 à l’ONU par le gouvernement suédois, Monsieur a une plus grande empreinte écologique que Madame.La comparaison des modes de vie des deux sexes, dans les pays riches comme dans les pays pauvres, a permis d’observer que les femmes consomment plus de biens, mais que les hommes, eux, accumulent les mauvaises habitudes.
Louise Allavoine pour terra Economica
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