- La crise économique rejoint la crise culturelle : en quelque sorte, le rejet de l'immigrant permet au malaise existentiel d'une population de s'exprimer.
- Le politique remet son pouvoir entre les mains d'une technocratie qui affirme qu'il faut continuer dans la même voie, sous peine de chaos.
(Grande nouveauté ? On reconnaît qu'il y a des "perdants de la globalisation". Vu ce qui est arrivé au Brexit, ils seraient même une majorité.)