Il est très difficile de mettre un terme à ces systèmes de gestion de l’offre. L’intérêt des défenseurs du système est démesurément plus grand que celui des consommateurs lésés par le système. Toutefois, pour le sirop d’érable, il n’est pas encore trop tard. Le système est relativement jeune. Les acériculteurs voient présentement la valeur de leurs terres et de leurs quotas augmenter, mais ce n’est pas encore trop pire. Peut-être qu’en appuyant Angèle Grenier, on peut aider un peu.--- pilulerouge.ca