Qui était cet être,ma mémoire ne veut l’oublier,
A ses côtés mon âme a retrouvé une part de sa vérité,
Mon coeur un bonheur qu’il disait inespéré,
Cet être,sans doute,connaissait tout de sa divinité,
A son contact toute forme de vie de nouveau resplendissait,
Sous ses doigts la souffrance taisait son ignorance,
Il défiait le temps,il témoignait un éternel présent,
A tous réclamait-il l’effort d’espérance,
L’éveil de chacun en sa conscience,
Affirmait-il les jours offrandes à notre amour,
Qui était cet être,mon frère,mon père,
Mon semblable,mon guide,mon ami des plus sincères,
Mais jamais,au grand jamais,mon maître.